En ce dernier jour de l’année, Anta Babacar Ngom Diack a adressé un discours de vœux empreint d’espoir et de détermination envers un Sénégal meilleur. Au milieu des défis de 2023, elle a souligné la nécessité de rompre avec les schémas passés pour bâtir un avenir prometteur.
Le discours de la candidate présidentielle a mis en lumière les souffrances vécues par les Sénégalais en 2023, appelant à une unité nationale pour restaurer la paix et la stabilité. Anta Babacar Ngom Diack a affirmé avec conviction que la colère légitime ne doit pas compromettre les fondements de la vie commune.
La politique de la présidente du mouvement ARC repose sur une vision audacieuse pour l’émergence du Sénégal. Elle propose une croissance économique solide, axée sur l’industrialisation massive, le patriotisme économique, et des investissements dans des secteurs clés tels que l’agrobusiness, l’élevage, la pêche, le tourisme, et la souveraineté énergétique.
La candidate souligne également son engagement envers une éducation de qualité, des soins de santé accessibles, la réduction des inégalités sociales, et la garantie de l’égalité des chances. Anta Babacar a achevé une tournée nationale qui a renforcé sa conviction en la nécessité d’une rupture systémique face aux défis majeurs tels que la pauvreté, le chômage des jeunes et l’insécurité alimentaire.
L’appel à la mobilisation lancé par Anta Babacar Ngom Diack en vue de l’élection présidentielle de février 2024 est fort. Elle encourage toutes les forces vives du pays, hommes, femmes et jeunes, à se rallier à sa cause. La candidate souhaite transcender les clivages traditionnels et impliquer la vaste majorité des Sénégalais dans la construction d’un avenir meilleur. La candidate de la relève aspire à une gouvernance inclusive et progressiste, mettant en avant l’efficacité et l’équilibre.
Anta Babacar se présente comme le visage du renouveau et de la relève pour le Sénégal en 2024, appelant à une mobilisation collective pour surmonter les défis et ouvrir la voie à une renaissance nationale.
Très « cher »Ousmane .
Au seuil de cette nouvelle année, je voudrais vous rappeler combien vous avez coûté à la nation et donc aux citoyens sénégalais depuis 2021.
En effet ,l’analyse objective d’une situation impose une démarche scientifique qui ,à son tour impose une honnêteté intellectuelle pour conduire la recherche de l’origine de cette même situation.
comment parler des « événements » malheureux de ces dernières années sans penser à son acte 1 ,à savoir vos visites nocturnes , qui un soir de couvre-feu a conduit à l’éclatement de « l’affaire Adji Sarr »?
Si c’était une épidémie, la jeune masseuse corrompue, serait « le patient zéro ».
La théorie du complot politique n’a été élaborée que bien plus tard afin de sauver le soldat sonko , ou « le projet » , pour ceux qui, dans l’ex-Pastef, ont certes vomi leur leader mais s’accrochent toujours à leur projet de renverser « le système » et devenir calife à la place du calife . Ces nouveaux Iznogoods sont très dangereux pour notre belle république démocratique. Ils ont mis le pays sans dessus-dessous avec leur discours va-t-en guerre ,sur une population déjà impactée et fragilisée par la conjoncture internationale désastreuse. En effet, la jeunesse sénégalaise, dynamitée par le chômage, les échecs et leurs difficultés au quotidien, n’attendaient qu’une allumette pour exploser.
Dans l’une de vos déclarations, vous nous avez dit clairement avoir « trouvée l’allumette qui permettait « d’allumer » le pays ». La suite est connue du monde entier:
les pertes en vies humaines par dizaines ,
des handicapés qui porteront les stigmates à vie ,
des dégâts matériels par milliards , avec la destruction de biens publics et privés, vandalisés et cambriolés ,
des familles et des destins brisés ,
enquêtes, instructions ,procès et recours frisant parfois l’abus de droit ,qui coûtent cher aux contribuables . En effet, mobiliser des centaines de magistrats depuis des années, des FDS par dizaines de milliers ,
bloquer l’économie du pays par des manifestations-prétextes pour déstabiliser le pays comme l’attentat de Yarakh,
décourager les investisseurs potentiels, mais également et surtout détruire la réputation de notre pays à l’international.
Tous ces événements nous ont coûté et nous coûtent encore aujourd’hui très cher , Ousmane.
Et ce n’est pas encore terminé!
Car il faudrait que ces centaines de délinquants ( dont vous faites partie selon le jugement dans l’affaire de la masseuse ) ,emprisonnés pour leurs forfaits, que vous appelez avec beaucoup de culot et de mauvaise foi ,«prisonniers politiques » soient jugés et définitivement condamnés ou non d’ailleurs..
Donc vous continuerez à nous coûter cher en 2024.
le Sénégal en gardera de profondes séquelles mais restera , à votre corps défendant, un État de de droit DEBOUT .
En définitive , si j’ai des vœux à formuler en ce début d’année, ce sera pour le Senegal et sa brave population paisible : Celle qui travaille !
Que Dieu préserve les rêves de stabilité et d’émergence de notre grande démocratie et lui confère la force de les réaliser.
Un passant qui passe
Très « cher »Ousmane .
Au seuil de cette nouvelle année, je voudrais vous rappeler combien vous avez coûté à la nation et donc aux citoyens sénégalais depuis 2021.
En effet ,l’analyse objective d’une situation impose une démarche scientifique qui ,à son tour impose une honnêteté intellectuelle pour conduire la recherche de l’origine de cette même situation.
comment parler des « événements » malheureux de ces dernières années sans penser à son acte 1 ,à savoir vos visites nocturnes , qui un soir de couvre-feu a conduit à l’éclatement de « l’affaire Adji Sarr »?
Si c’était une épidémie, la jeune masseuse corrompue, serait « le patient zéro ».
La théorie du complot politique n’a été élaborée que bien plus tard afin de sauver le soldat sonko , ou « le projet » , pour ceux qui, dans l’ex-Pastef, ont certes vomi leur leader mais s’accrochent toujours à leur projet de renverser « le système » et devenir calife à la place du calife . Ces nouveaux Iznogoods sont très dangereux pour notre belle république démocratique. Ils ont mis le pays sans dessus-dessous avec leur discours va-t-en guerre ,sur une population déjà impactée et fragilisée par la conjoncture internationale désastreuse. En effet, la jeunesse sénégalaise, dynamitée par le chômage, les échecs et leurs difficultés au quotidien, n’attendaient qu’une allumette pour exploser.
Dans l’une de vos déclarations, vous nous avez dit clairement avoir « trouvée l’allumette qui permettait « d’allumer » le pays ». La suite est connue du monde entier:
les pertes en vies humaines par dizaines ,
des handicapés qui porteront les stigmates à vie ,
des dégâts matériels par milliards , avec la destruction de biens publics et privés, vandalisés et cambriolés ,
des familles et des destins brisés ,
enquêtes, instructions ,procès et recours frisant parfois l’abus de droit ,qui coûtent cher aux contribuables . En effet, mobiliser des centaines de magistrats depuis des années, des FDS par dizaines de milliers ,
bloquer l’économie du pays par des manifestations-prétextes pour déstabiliser le pays comme l’attentat de Yarakh,
décourager les investisseurs potentiels, mais également et surtout détruire la réputation de notre pays à l’international.
Tous ces événements nous ont coûté et nous coûtent encore aujourd’hui très cher , Ousmane.
Et ce n’est pas encore terminé!
Car il faudrait que ces centaines de délinquants ( dont vous faites partie selon le jugement dans l’affaire de la masseuse ) ,emprisonnés pour leurs forfaits, que vous appelez avec beaucoup de culot et de mauvaise foi ,«prisonniers politiques » soient jugés et définitivement condamnés ou non d’ailleurs..
Donc vous continuerez à nous coûter cher en 2024.
le Sénégal en gardera de profondes séquelles mais restera , à votre corps défendant, un État de de droit DEBOUT .
En définitive , si j’ai des vœux à formuler en ce début d’année, ce sera pour le Senegal et sa brave population paisible : Celle qui travaille !
Que Dieu préserve les rêves de stabilité et d’émergence de notre grande démocratie et lui confère la force de les réaliser.
Un passant qui passe