Selon les faits rapportés par des témoins, c’est dans la nuit du dimanche au lundi dernier, que ce monsieur a sollicité la compagnie de sa victime répondant au nom d’Aude Souomi âgée de 9 ans, sous prétexte qu’il était seul à la maison pour y passer la nuit.
Les parents n’ayant pas trouvé d’inconvénient vont accéder à sa demande surtout que le classement des élèves de l’école était prévu pour le lendemain, lundi. Mais seul l’enseignant avait sa petite idée derrière la tête. La nuit tombée, il va mettre en exécution son plan machiavélique, en abusant de la fillette dans sa chambre principale.
Mais le pot de rose est découvert lundi, quand la fillette présente des signes ne lui donnant pas une santé reluisante. Elle ne peut marcher pour se rendre à son l’école enfin de retirer son résultat de fin d’année. Harcelée par sa mère, elle finira par lâcher le morceau.
Le village informé du forfait du directeur qui ne serait pas à son premier viol sur mineur, va le conduire à la gendarmerie où il a finalement reconnu les faits mardi avant de demander un règlement à l’amiable. Une proposition aussitôt rejetée par la famille qui a par la même occasion saisie l’ONUCI et des ONG de la région.
Si pour l’heure, le violeur espère la clémence de la part des parents de la victime, le ministère de l’éducation nationale est interpellé sur ce énième cas de viol des enseignants, qui ne donne pas une bonne image à l’école en Côte d’Ivoire.
Affaire à suivre…