Interrogé sur la gestion des finances publiques, l’économiste et enseignant à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), appuie les propos du président Bassirou Diomaye Faye, laissant entendre que la situation économique du pays est préoccupante. Selon Meissa Badou, la dette s’élève à environ 15 000 milliards, soit environ 77% du Produit Intérieur Brut (PIB), mais il précise que ces chiffres nécessitent une confirmation des autorités actuelles sur la véritable situation financière du Sénégal.
Pour Meissa Badou, le principal problème réside dans les dépenses publiques, notamment le service de la dette et la masse salariale, qui atteignent près de 250 milliards par mois. Il se demande si l’État sénégalais dispose des capacités fiscales nécessaires pour mobiliser de telles ressources.
Selon l’économiste, il existe deux options pour sortir de cette impasse : soit recourir au marché financier pour lever des fonds et combler le déficit, ce qui entraînerait l’arrêt ou le report de nombreux projets, soit mettre en place une politique fiscale plus équitable. Cependant, cette dernière option semble peu viable car elle serait en contradiction avec les objectifs du gouvernement en place.
Cette situation risque de poser de nombreux problèmes au régime actuel. Il est donc urgent de réduire les charges publiques et d’augmenter les recettes en veillant à ce que toutes les entreprises paient leurs impôts, et en mettant en place une politique fiscale qui favorise l’équité, comme le souligne Meissa Babou, l’économiste dans les colonnes du Sud Quotidien.
Assez de pleurnichies. Même si des erreurs ont été commises elles l’ont été de bonne foi. Ce que nous attendons de la nouvelle équipe c’est un changement significatif dans le meilleur et non des arguments trop faciles pour justifier un éventuel échec. La rupture commence par la déclinaison des actions concrètes avec objectifs et deadlines précis .
La littérature qui fait une boucle sur l’état des lieux est à ranger au placard des oubliettes.
MR DIENG. EVITEZ D’INVOQUER LA BONNE FOI DANS LA GESTION DE LA PRÉCÉDENTE EQUIPE QUAND DES DÉTOURNEMENTS D’OBJECTIFS, DES ENRICHISSEMENTS ILLICITES DES PREVARICATIONS DE TOUTES SORTES ONT ETE RÉVÉLÉS PAR DES RAPPORTS DE CORPS ASSERMENTÉS SUITE A L’EXÉCUTION DE MISSIONS EN BONNE ET DUE FORME. INVOQUEZ PLUTÔT L’IMPUNITÉ QUI A RÉGNÉ EN MAÎTRE A TOUS LES NIVEAUX DE NOTRE ANCIENNE ÉQUIPE GOUVERNEMENTALE
on herite de l’actif et du passif
faites preuve de competence t guen nopi
tranformez les faiblesses en opportunités et basta
Ce gars c’est du n’importe quoi, il fait que parler pour ne rien dire a là fin, toute les pays ont des dettes et c’est normal, mais aller jusqu’à prononcé le mots catastrophique ça c’est exagérer quand même. Sinon donne nous des preuves qui nous montrent que tu dis vrai. Arrêté, nous sénégalais on est mature personne ne pourra nous tromper aussi facilement
Je propose une recherche de fonds rapide et souverain : résilier la licence Orange,revendez la à 1000 milliards pour 4 ans.Faites la même chose pour la Sen Eau…renationaliser la Senelec …
Si vous faites de meissa Babou une référence vous avez tout faux c est l économiste le plus nul du Sénégal
MAISSA NAR BABOU
Le plus nul au senegal
NE NOUS POMPEZ PAS DE L AIR DE PRETEXTE , PASTEF A DIT AUX SENEGALAIS KOU BEUG LEK LEK , KOU BEUG FADIOU FADIOU. KOU BEUG LIGUEY LIGUEY , KOU BEUG DIANG DIANG MEME BEUG TAK DIABAR TAK DIABAR MAINTENANT LES SENEGALAIS SONT IMPATIENTS .
AY FENE DOU PROGRAMME , AY MANIPULATIONS DOU PROGRAMME , AY VIOLENCES SAGA KHOUP DOU PROGRAMME .
NEKETE YO CES POPULISTES NE SONT PAS PRETS , ILS NOUS ONT VENDU DU VENT PUYANT DE MENSONGES .
SEULS LES SENEGALAIS PEUVENT REGLER LEURS PROBLEMES PAS POLITICIENS DU POUVOIR NI DE L OPPOSTION , ILS MANGENT A TOUR
paregougnou sax d wax ba gnou faal la
di guen khamné lepeu deugueula