Depuis 2012, une dizaine d’activistes sénégalais a eu maille avec la justice pour des faits d’offense au chef de l’Etat. Pour les épingler, l’Article 80 du Code pénal plane, telle une épée de Damoclès, sur notre liberté d’expression. Le nouveau Secrétaire national adjoint chargé de la mobilisation du Pds, Gallo Tall, en est convaincu et le déplore.
Article 80
Gallo Tall fait partie des Sénégalais qui ne veulent plus entendre parler de l’Article 80 du Code pénal. Selon lui, c’est un recul démocratique et l’actuel président est le premier à avoir transgressé ledit article. « Il avait accusé l’ancien président Abdoulaye Wade et avait même traité des magistrats de corrompus. Aussi en tant que responsable de parti politique en 2012, devait-il être le premier homme politique à être poursuivi.
Liberté d’expression
La liberté d’expression est un droit inaliénable, selon Gallo Tall qui avance que quoi qu’on puise dire, Macky Sall est le président de la République. « En ce qui me concerne, je ne suis pas d’accord pour les violences verbales et je ne le ferai pas. Mais, ce sont ses (Macky Sall) comportements qui incitent la population à lui manquer de respect. Il devrait inviter les insulteurs au Palais et discuter avec eux »
Abrogation de l’Article 80
« Ce n’est pas le bon moment pour abroger l’Article 80, souligne Gallo Tall, selon qui, attendre la fin de son mandat pour le faire n’est pas non plus une solution citoyenne, mais qui lui permettrait juste de sauver sa peau et celle de ses militants qui sont beaucoup plus arrogants ».
Merci beaucoup frère Gallo tall c’est sa la vérité macky sall n’est mérite pas d’être président du Sénégal il a tue la démocratie sénégalais un président par accident de l’occident qui nous est arrivé 2012 voilà pourquoi le président wade et déterminer a donner des poste de responsabilité à la nouvelles générations pour ces débrancher de macky sall est sa bande d’incompétence