La lutte pour la reconnaissance du massacre de Thiaroye, initiée par Ousmane Sonko et soutenue avec justesse par le Président Bassirou Diomaye Faye, a abouti à une étape historique : la reconnaissance par la France de sa responsabilité dans cet événement tragique.
Ce drame restera une tâche indélébile dans l’histoire des tirailleurs africains. Il est essentiel de rendre hommage à ce duo de leaders décomplexés, qui porte haut le flambeau de la redéfinition des relations entre l’Afrique et la France.
Les féliciter n’est pas une simple posture politicienne, mais un acte de reconnaissance pour leur courage et leur vision.
Un grand merci à tous ceux, d’hier et d’aujourd’hui, qui ont combattu pour réparer cette injustice.
Vive une Afrique portée par une nouvelle génération ambitieuse, résolue à traiter d’égal à égal avec le reste du monde.
El Hadji Mamadou Diao*
UNE REVENDICATION TANT ATTENDUE QUI.VIENT EN SON HEURE.
Un vrai cireur de chaussures, fiirdo sans éthique
Mattal sa bakan
Thi Mmmmm !!!!! Aka gnakk diome, gnakk ngorr, wathiou laikatte, rabaissé ta culotte devant des incompétents, gnou teulai, ak senn poraset,fenni kesset.
Vive pastef .vous au moins vous êtes responsables par rapport à ceux qui étaient là
Akagno teulai ayye lambatou rekk, rewmi sonna nagnou, dara dokhoule,aye fenn yoroule am rew.
Le connard ,monsieur diao.tu te protege
Il s est décalé pour sauver le butin acquis malheureusement
La juste lutte pour la reconnaissance du massacre de Thiaroye n’ a pas attendu Ousmane Sonko et le Président Bassirou Diomaye Faye pour être initiée. Elle existe de longue date. Ousmane et Bassirou ont simplement embarqué sur le navire.
Daye woutt soucouvert, daw lakhatou.
Le grand artisan du « pathio » de la bande des filaos de Guédiawaye, qui a réussi à faire du « broukhlou », grâce à sa prétendue amitié avec Sonko. Les centaines de pères et mères de familles ne pardonneront jamais à ce faussaire la dépossession de leurs parcelles. Ils ne pardonneraient non plus à Diomaye et Sonko de se taire sur les agissements délictueux de leur collègue. Trop facile de l’admettre en leur sein après ses forfaitures !