Réaction officielle du camp de Karim Wade demandant la reprise du processus électoral

Le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) et la coalition Karim 2024 (K24), lors d’une conférence de presse tenue le 19 février 2024 à Dakar, ont exprimé leur position suite à la récente décision du Conseil constitutionnel concernant le report de l’élection présidentielle. Cette décision, rendue le 15 février, annule le décret du Président Macky Sall qui avait initialement fixé l’élection présidentielle au 25 février 2024, ainsi que la loi votée par l’Assemblée nationale, proposée par les partisans de Karim Wade, visant à reporter l’élection au 15 décembre 2024.

La coalition K24 a pris acte de la décision du Conseil constitutionnel, la considérant comme une conséquence des défaillances dans le processus électoral. Elle a annoncé sa participation au dialogue national, sans délais, tel qu’annoncé par le Président de la République. Le PDS et ses alliés exigent que les conclusions de ce dialogue soient le fruit d’un consensus fort entre tous les acteurs impliqués. Afin que le processus électoral soit repris depuis le début, dans l’objectif ed rectifier les erreurs du Conseil constitutionnel, et voir leur candidat Karim Wade d’avoir la possibilité d’être candidat à la présidentielle.

En outre, le PDS a souligné l’importance de la création d’une Cour constitutionnelle, arguant que son absence est une des raisons qui les a poussés à proposer une loi à l’Assemblée nationale. Le parti a rappelé l’impératif pour le président d’agir dans l’intérêt supérieur de la nation et de mener de larges concertations.

Cette conférence de presse fait suite à une série d’événements marqués par des tensions politiques, notamment l’accusation de corruption contre des membres du Conseil constitutionnel par les députés de Wallu Sénégal et la demande d’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire. Ces événements ont conduit à l’adoption d’un projet de loi portant report de la présidentielle, dans un contexte de vives controverses et d’exclusions de certains députés de l’hémicycle.

Le PDS et la coalition K24 réitèrent leur engagement à participer pleinement au dialogue national en vue d’assurer une élection présidentielle apaisée, inclusive, transparente et non contestable.

51 commentaires

  1. TruthHurts

    Ces hypocrites n’ont qu’à aller se faire foutre. Ils n’ont aucune dignité. C’est pourquoi ils continuent à jurer sur ce fantôme de Karim Wade qui se fout d’eux.
    Gni amounou sakh diom!!!!
    Le PDS est mort tué par Macky Sall. Attendez juste les prochaines élections législatives, vous n’aurez même pas un député!

  2. Sagna

    C’est ce café au lait qui a mis le pays en guerres au cors de ce mois.il attendra en 2029 pour se représenter. Si par erreur macky cherche à compromettre la volonté du conseil constitutionnel les conséquences qui vont en dérouler seront entièrement de sa responsabilité. Il ya qu’une solution c’est de fixer rapidement la date du scrutin le plis bref délais, pour que l’élu prenne les reines le 3 avril 24 et prête serment.
    Le pds est un parti cheytane il faut se méfier. Son sernsecretaire général et son adjoint sont tous hors du Sénégal et manipulent la population.

    • Toure alioune

      Cafe au lait une preference de beaucoup de gens pour le petit dejeûner dans le monde. Nous souhaitons a tous les senegalais de le savourer en 2024 inchialah. Sans KARIM:pas d,elections.

    • Toure alioune

      Ce gamin est le plus grand leader de tous les leaders qui le respectent tous même ousmane sont seulement les petits militants insignifiants qui se plaignent.

  3. Petit

    Vous pds vous devez envouloir pr wade karim ou rien pourquoi vous ne choisissez une personne vous avez peur de Wade parmi li y en a qui sont plus capables que karim qui ne viendra pas soonguain

    • sidi

      Pas elegant, accusations infondes, language de rues, language d’un mal eleve.
      Votre esprit ce trouve hors sujet, c’est vous le pervers qui repondra devant Dieu sans faille pour insultes a la bouche. Seuls les hyenes aux gueules de charognes punates s’expriment comme vous, Vous etes repugnant.

  4. Top

    Vraiment,c est du cinéma.N importe quoi avec les soit-disant PDS.Vous prenez les Sénégalais comme des dupes.Le PDS a conspire avec le régime pour jouer des tours aux populations sénégalaises.On a besoin la date respective des élections avant le 2avril.Toute autre manœuvre n est que dilatoire.

  5. Noreyni

    Je ne pense pas que ces gens soient des personnes normaux aller vous faire foutre s’il voulait être président pourquoi il a pas renoncé à sa nationalité française depuis 2019 foutaises

  6. Mamadou DIALLO

    ON NE.PEUT ORGANISER UNE ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE OÙ LE CANDIDAT DU PEUPLE ( LE PRÉSIDENT KARIM MEISSA WADE ) NE.PARTICIPE PAS. C’EST IMPENSABLE.

  7. Conseil

    Rêveurs ces gens du pds. Une décision de justice est là, il faut l’appliquer, vous nous parler de dialogue pour remettre en selle un candidat fantôme. Le dialogue tel que ces gens l’envisagent ne peut plus prospérer, en raison de la décision du Conseil constitutionnel.

    • sidi

      What a ding dong you are, a real ding-a-ling all of you here.
      Vous etes des andouilles, malhonnettes a fond, des noeuds- noeuds….sans classe ni elegance.

  8. Abdoulaye

    La réaction du camp de Karim est une peine perdue
    Les décisions du conseil constitutionnel sont irréversibles
    Dîtes a votre candidat Karim, qu’il ne peut être candidat ik fait l’objet d’un rejet.

  9. DIOUF ABDOULAYE

    Je ne suis ni politicien, ni partisan mais la logique recommande que tout le processus soit repris car il y a trop de problèmes à régler au préalable pour avoir de bonnes élections comme les précédentes.
    Mais installer un Président intérimaire autre que celui qui est actuellement en fonction serait une erreur historique fatale pour le Sénégal.
    Il ne faut pas que les émotions nous amènent à précipiter notre pays dans l’abîme .
    Les connaissants doivent trouver les moyens de laisser au pouvoir l’actuel président jusqu’à la passation de pouvoir avec celui qui sera élu .
    Je préviens : je ne suis ni politicien, ni partisan mais un Sénégalais qui a dirigé une grande structure de sécurité et qui a maintenant le temps d’observer le champ politique.

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