La sortie du professeur Babacar Gaye, agrégé en droit constitutionnel continue de susciter des réactions. Après les précisions du ministre de la justice, garde des sceaux, Jacques Mariel Nzouanke, professeur à la Faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar confirme son collègue agrégé.
« Aucune disposition de la Constitution ne réglemente la dévolution des mandats du Président Macky Sall, c’est-à-dire la manière dont ils vont se succéder. La Constitution ne dit pas si le nouvel article 27 entre en vigueur à l’expiration du mandat en cours du président de la République. Surtout, nulle part il n’est écrit que le mandat de 7 ans est, ou n’est pas compris dans le décompte des deux mandats consécutif, » a dit l’homme de droit.
Pour le directeur de la Revue des institutions politiques et administratives du Sénégal (Ripas) « si la réduction du mandat du président de la République de 7 à 5 ans avait été appliquée au mandat en cours, une élection présidentielle aurait été organisée », donc sa candidature en 2024 sera recevable.
Ce conseil constitutionnel peut bien dire au moment venu que le mandat de 7 ans ne fait pas partie du decompte parce que le texte dit clairement un mandat de 5ans renouvelable une seule fois. Le temperament du chef montre qu’il est trop enclin aux coups de force…
yéne koulene lathie
Dieu va régler le problème de tous les rusés qui par la manipulation des textes tentent de s’éterniser aux affaires
Il va nous aider inchallah
macky sall wata wat moytoule seytané
bakhna. fais tation
Senegalais, arretons de nous voiler la face
On n’a pas besoin de faire du droit pour savoir que Macky peut se presenter pour un troisieme mandat.
Dans la constitution le mandat presidentiel est de 5ans renouvelable 1fois alors que Macky est commence par un mandat de 7ans qu’on ne voit nul part dans la constitution.