Le Premier ministre Ousmane Sonko s’est adressé aux jeunes du Sénégal lors de la quatrième édition de la Journée nationale de nettoiement «Sétal Sunu Reew». Dans son discours, il a incité les jeunes à devenir des acteurs du changement, soulignant que le pays appartient à tous.
Sonko a déclaré : «Vous avez porté à la tête de ce pays un jeune comme vous, en la personne de Son Excellence, Monsieur le Président Bassirou Diomaye Faye. Il n’est plus question d’accompagner quelqu’un au pouvoir et ensuite de croiser les bras et regarder faire.»
Il a également insisté sur l’importance de participer activement à la réalisation des programmes et des objectifs de transformation structurelle du pays, en fixant l’horizon à 2025. «Nous avons une phase de redressement, de décollage et de stabilisation. Chacune de ces étapes nécessitera la participation de la jeunesse, notamment celle de Matam et du Fouta», a-t-il ajouté.
En conclusion, le Premier ministre a exhorté les jeunes à soutenir leur président, leur Premier ministre et le gouvernement. Il a souligné l’importance de l’espoir, en précisant qu’il doit être basé sur des actes concrets et quotidiens, jusqu’en 2050.
Yolom guenio tu n’a rien a dire aux jeunes tu ad manipulé des jeunes qui ne savaient pas que tu raconte des charabia
C’est une très bonne chose, ces visites dans les régions pour rencontrer, parler, échanger avec les populations et mieux comprendre quels sont leurs besoins réels, les priorités afin de pouvoir agir à travers des réponses bien adaptées.
Le premier ministre Ousmane Sonko connait bien le milieu rural pour s’y être régulièrement rendu au cours des dernières années. C’est pourquoi, je lui conseille de se concentrer sur son travail du reste très balze et qui demande concentration propice à la mise en oeuvre de son programme. Pour ce, il doit se libérer de tout ce qui l’en éloigner.
Reconnaissons-le, beaucoup de choses ont été faites mais ce qui reste à réaliser l’est encore beaucoup plus. Les cinq mois ont permis de faire des lieux, de dégager des pistes de solutions aux problèmes, alors allons-y et laissons la reddition des comptes aux mains des acteurs de la justice. Ça kanaam.