Des reculades au plan énergétique, d’interminables et gênantes invectives et empoignades endogènes dans l’équipe dirigeante, du tape à l’œil à travers des chiffres utopiques présentés aux institutions financières et économiques internationales, des couacs et faillites organisationnelles lors du pèlerinage à la Mecque, une Education, une Santé et une Agriculture à reculons……….. tel se présente, hélas, le bilan après près de quatre ans de pouvoir, d’un régime qui se cherche encore. C’est tâtonnant et inquiétant !, disait l’autre.
Les observateurs de l’action gouvernementale, auront beau vouloir accorder des circonstances atténuantes ou un certain temps de grâce, avant de se prononcer à travers un constat quelconque, aujourd’hui, une vérité républicaine les oblige à se déterminer. M. Loum, denier premier ministre du régime socialiste (1960/2000), L’ex-ambassadeur français à Dakar, Ruffin et le doyen Amath Dansoko, pensionnaire de l’actuel gouvernement, ne nous démentiront pas.
Si c’est le panier de la ménagère qui reste le meilleur et le plus judicieux baromètre, nous nous posons les questions de savoir: 1) Où allons-nous avec ce gouvernants qui nous dirigent ? 2) Avec quelle sauce vont-ils nous manger ? De telles interrogations se mirent à travers une situation économico-sociale, de plus en plus désastreuse, dans laquelle gît notre pays.
Après l’alternance de Mars 2012, nous nous attendions à un Sénégal New-look. Car, ces jeunes dirigeants nés presque tous, en majorité, à l’orée ou après l’indépendance de 1960 du Sénégal, et de surcroît jouissant et bénéficiant d’une certaine expérience étatique et de gouvernance, avaient donné espoir et ré-ouvert les yeux et oreilles de confiance aux populations. Annonçant pompeusement une rupture et une réduction du train de vie de l’Etat. Or, l’atmosphère actuelle affligée et servie aux citoyens que nous sommes, n’est que déception et désolation. Nos gouvernants ont déçu, parce que plus bavards qu’utiles face à ceux qui les ont élus.
Egalement, plus navrant et énervant, ne pourrait dépasser le fait de vouloir imposer, après maquillage, d’ignominieux résultats d’un bilan à mi-parcours qui n’augure en rien des lendemains meilleurs. Rien ne va dans ce pays. Et d’ailleurs, piqués par quels malheurs récurrents, toutes leurs actions se heurtent à des déconvenues, voire des échecs.
Les nombreuses « pierres », après une première pose (Projets d’infrastructures confondues) souffrent de solitude dans leur coin. Aucune avancée palpable à ces projets institutionnels où, depuis plus de deux ans, des Directeurs Généraux déjà nommés, salariés et véhiculés, attendent toujours une remise de clefs de chantiers qui tardent à démarrer.
Face à des dirigeants refusant, par ces temps de mondialisation, que l’amateurisme a épuisé son processus historique, nous ne cesserons de demander : OU ALLONS- NOUS ?
Elhadj Yvon Mbaye
Journaliste-formateur
Tel : 77 179 19 38
E-mail : olympress45@yahoo.fr
Trop facile ça il faut penser à ALLAH. C'est trop facile pr toute personne après avoir reçu une enveloppe bourrée de billets de se mettre devant son ordinateur et écrire des choses pareilles.c'est bien de critiquer mais n oublie jamais le grand «MAIS»dire ce qi ne va pas et ce qi va bien tu es comme certains marabouts une fois à la télévision on l'impression q nous allons tous à l enfer il oublie q ALLAH est miséricordieux.une seule bonne chose peut t amener au paradis