Dans son rapport publié hier, l’organisation de défense des droits humains est revenue sur le non-respect de la liberté d’expression au Sénégal. Amnesty international informe qu’en 2016, plusieurs manifestations pacifiques d’organisations de la société civile et des partis politiques ont été interdites au Sénégal.
L’Amnesty international rappelle: « en octobre les forces de l’ordre avait utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser une manifestation pacifique organisée par l’opposition ». Il a aussi noté le non-respect de la liberté d’expression et d’opinion. Et comme exemple, Seydi Gassama soutient que « des journalistes ont subi des actes d’intimidation et harcèlement de la part de l’Etat dans le but de les faire taire où de les empêcher de relayer des critiques contre le gouvernement ».
Selon Seydi Gassama, un membre de la société civil qui demandait des comptes et la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat a subi des harcèlement judiciaire dont le but était de le dissuader de faire son travail, renseigne le journal Le Quotidien.
Mr Gassama est A ne rien faire il faut qu’il justifie ce que ces blancs payent a leurs encres de services il veut transformer en badauds être dans la rue a crier pendant ce temps une aiguille pour coudre n’est meme pas fabriquee chez nous