Il y a un an me quittait un fils, un neveu et en même temps un collaborateur qui savait faire preuve de dépassement devant l’appel pressant de son travail.
Amadou Lamine Mbaye m’a marqué à tout point de vue. Que le Seigneur des Terres et des Cieux ait pitié de sa grande âme et l’accueille dans la meilleure de ses demeures éternelles.
J’avais appris sa brusque disparition avec une très forte et indescriptible émotion. La tristesse et l’anéantissement qui m’habitaient ce jour sont encore sensibles.
Le simple fait d’évoquer Senego, me replonge dans l’amertume et dans la confusion de sa disparition. Il était simple et rien de matériel ne le liait avec les autres.
J’aimais affectueusement l’appeler mon fils. Son visage m’est encore familier. Que la terre lui entièrement légère.
À sa famille et à tous ses collègues du groupe SENEGO, à leur Directeur de publication, sans oublier particulièrement le rédacteur en Chef, je représente mes sincères condoléances.
Par Gaston Mbengue
