Demba Moussa Dembélé taxe la classe politique de médiocrité

Demba Moussa Dembélé taxe la classe politique de médiocrité

Demba Moussa Dembélé regrette  dans le landernau politique l’absence de projet de société et taxe la classe politique de médiocrité.

A en croire l’économiste et chercheur, directeur du Forum africain des Alternatives et  coordonnateur de l’Africaine de recherche et de coopération pour l’appui au développement endogène (Arcade), « le pays vit dans une situation catastrophique à cause de toutes ces grèves, de toutes ces agitations sociales ».

« Mais on constate  malheureusement que les politiciens parlent plus de l’élection de 2017 que de la manière de résoudre les problèmes que vivent les Sénégalais. Même du côté du Gouvernement, on voit des coalitions qui se regroupent pour la réélection deMacky Sall. Cela creuse le fossé entre les politiciens et les populations. Je constate une certaine médiocrité de la classe politique, les idées sont à courtes vues », martèle sur Sud Fm cet altermondialiste.

2 commentaires

  1. Talla Gueye

    Vous l'avez dit c le moment de travailler sur des candidatures de la société civile et départissons nous de ces politiciens véreux incapables de régler nos problèmes depuis plus d'1demi siècle

  2. Bine Ak Fitt

    Ce que la classe plotique sénégalaise ne sait pas, c'est qu'il n'existe plus le genre d'opposition politique qu'ils sont entrain de faire… Les enjeux politiques dans le monde entier sont tellement important qu'il n'y a pas de place pour les pays qui ne sont pas unis à leur interne… Tous les pays se mouvent maintenant comme un seul homme et sont tous derrière le représentant du peuple. Après il ya toujours cette opposition qui est la pour veiller au bon fonctionnement étatique et non pour faire de la politique politicienne et ne perdre aucune occasion pour critiquer le pouvoir en place comme on le fait chez nous au Sénégal. ..

    il n'y a aucun tracé, ligne , suivi, idéal politique pour le sénégal que tous les présidents à venir successivement doivent obligatoirement épouser.

    A ce point, l'alternance au pouvoir est il vraiment nécessaire après un court mandat présidentiel ou bien il faut opter pour la continuité comme Mugabe au Zimbabwe , Dos Santos à l'Angola, Obiang de la Guinée équatoriale qui ont su redressé leurs pays et récupérer leurs économies aux mains des étrangers?

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