Mass Seck s’interroge sur la gestion financière du Groupe Futurs Médias (GFM) après le départ de Macky Sall. Il souligne la fragilité de GFM due à sa dépendance vis-à-vis des contrats publicitaires de l’État et pointe des défaillances internes dans la gestion.
Selon lui, le PDG s’occupe de la promotion de ses autres entreprises, telles que NAT, alors que des employés de GFM, souvent confrontés à des retards de paiement.
Mass Seck relève également des inégalités au sein de l’entreprise, où certains animateurs et journalistes disposent de revenus supplémentaires, contrairement à la majorité des travailleurs.
Il préconise une diversification des partenaires de GFM pour éviter la mainmise de l’État, conformément aux principes de la charte de Munich.
C’est ki lui
C’est lui
Les difficultés de GFM découlent des disparités dans les émoluments des employés,si certains se tapent des revenus exorbitants sans qualification spécifique,d’autres par contre se retrouvent avec des revenus moyens.
Quand on gère une comptabilité avec des salariés, il faut respecter les fondamentaux c’est à dire recruter les gens en fonction de leurs qualifications et appliquer des salaires conformément aux lois et règlements du pays.
À la longue ces disparités peuvent créer des frustrations et des tensions sociales qui peuvent impacter négativement la structure.