La prévalence du burnout parmi les travailleurs sénégalais atteint 57,5 %, selon le ministre de la Santé, Dr Ibrahima Sy. Cette annonce a été faite lors de la Journée mondiale de la santé mentale célébrée à Kaolack, mettant l’accent sur l’importance de la santé mentale au travail. Dr Sy a exhorté le patronat à promouvoir les facteurs de la santé mentale sur le lieu de travail.
L’OMS défini la santé mentale comme un état de bien-être permettant de réaliser son potentiel et de contribuer à la communauté. Elle souligne l’importance de cet aspect, surtout que 60 % de la population mondiale est active. Le thème choisi pour 2024 par l’OMS est : « Il est temps de prioriser la santé mentale au travail ».
Au Sénégal, plus de la moitié des travailleurs sont affectés par le burnout, qui résulte d’un investissement prolongé dans des conditions de travail exigeantes. Selon le Dr Sy, l’enquête nationale sur la santé mentale de 2023 révèle ce chiffre préoccupant. La qualité de vie au travail est souvent évaluée à travers des indicateurs négatifs comme le stress et l’épuisement émotionnel.
Des conditions de travail défavorables peuvent affecter le bien-être mental, diminuant la satisfaction professionnelle et la productivité. Le Bureau international du travail insiste sur le droit des travailleurs à un environnement sûr et sain, protégeant le bien-être physique et mental. Le BIT souligne que la mauvaise santé mentale peut entraîner des accidents de travail et que des environnements dangereux posent des risques psychosociaux.
L’OMS a insisté sur la nécessité d’une collaboration entre les pouvoirs publics, employeurs et représentants des travailleurs pour améliorer la santé mentale au travail. Elle recommande des interventions basées sur des données probantes pour permettre à chacun de s’épanouir professionnellement et personnellement.
Dr Sy a profité de cette journée pour sensibiliser le patronat sénégalais aux déterminants de la santé mentale dans le milieu professionnel, encourageant la discussion et la promotion de ces critères.
On peut se douter de la santé mentale de ce ministron qui qui discrimine les recrutés sur une base partisane.
Poua!!!!! Saleté
Le élèves qui ont des difficultés d’apprentissage ne sont pas pris en charge, ni aidés, ni suivis ni détectés. Dans les familles, les lieux de travail, le milieu sportif (commotions cérébrales), rien non plus. Et voila c est parti pour la folie tout bonnement. Nous avons beaucoup encore à faire dans le domaine de la santé globale en général