Cheikh Yérim Seck, ancien journaliste de « Jeune Afrique » et analyste politique sénégalais, a retrouvé sa liberté après plusieurs jours de garde à vue. Arrêté par la Division spéciale de cybersécurité, son dossier a finalement été classé sans suite, écartant ainsi les accusations de diffusion de fausses nouvelles et de diffamation qui pesaient contre lui.
Le journaliste avait été interpellé le 1er octobre 2024, suite à des déclarations controversées faites dans plusieurs médias, où il critiquait la gestion économique du pays par les nouvelles autorités. Il avait notamment remis en question les chiffres avancés par le gouvernement concernant le déficit budgétaire et les capacités financières du Sénégal sur le marché de l’UEMOA, estimant que les données du ministère des Finances contredisaient celles du Premier ministre.
Cette arrestation a suscité de vives réactions, notamment de la part de la Coordination des Associations de Presse (CAP), qui a rapidement réagi en appelant à la libération de Seck. L’organisation a insisté sur le fait que ses propos s’inscrivaient dans le cadre du débat public et de la liberté d’expression, principes fondamentaux dans une démocratie. Malgré cela, les autorités avaient estimé que ses déclarations pouvaient nuire à l’ordre public et ternir l’image de certaines personnalités du pays.
C’est une bonne nouvelle. On a pas besoin d’emprisonner un imbecile comme ça pour lui faire du buzz
Tiey gornement sonko ak Diomaye ???
Bien dit
Bayil doul sonko atanoul pression cys n’es pas n’importe ki. Dmrm
J’espere qu’on va retrouver notre cher yerim. Analyste politique et impartial. Il etait trop dans l’émotion ces derniers mois. Faut qu’il se ressaisisse, le pays a besoin de lui
C’est très bien le fait d’avoir passé la nuit avec des odeurs d’urine et des rats lui fera taire.AU sortir de ces 2 jours il ira voir son employeur AMADOU BA pour lui remettre l’avance .Un grand coup qui portera ses fruits car le mec s’attendait tout sauf a être arrêté
Une preuve que les choses ont bien changé. D’autres ont été envoyés en instruction pour des émojis
Au senegal le ridicule ne tue pas .
Ils voulaient l’intimider, mais ils l’ont agrandi!
il fallait le laisser 10 jours au gnouf espèce de doulkat
au suivant ma dambal diagne à ton tour
critiquer comme bon vous semble le gouvernement mais n’inventer des histoires macky n’est plus là
QUAND DES APPRENTIS DICTATEURS ET FASCISTES PASTEFIENS TENTENT A FAIRE TAIRE LE FAMEUX , COURAGEUX , HONNETE JOURNALISTE YERIM SECK QUI A SECOUE LE GOUVERNMENT DE DIOMAYE SONKO .
MERCI MERCI MERCI CHEIKH YERIM SECK QUI N A JAMAIS TRAHI SON HONNETETE INTELLECTUEL , SON COURAGE , SON PATRIOTISME , SA BRAVOURE ET SON SAVOIR TRES ELEVE .
UNE GRANDE HONTE ECHEC TOTAL DU REGIME DICTATORIAL ET FASCISTE .
UNE PATATE CHAUDE( CHEIKH YERIM SECK) NE SE MANGE PAS FACILEMENT .
PATRIOTE ton YERIM n’est qu’un imbécile qui a raté sa vie .OU étaient hier les gens qui l’envoient sur les plateaux au moment ou il faisait les beaux jours de JEUNE AFRIQUE .HIER adulé le mec est devenu pitoyable il s’est rabaissé jusqu’à devenir nervi médiatique
boul ray wadji way
Vive la liberté d’expression
Personne ne va applaudir.
Il faut virer ceux qui ont déclenché ces poursuites.