« Débrayages pour des raisons non scolaires » : Cheikh Oumar Hann menace les enseignants grévistes…

« Des syndicats d’enseignants se réclamant d’un mouvement dénommé ‘Cadre de concertation des syndicats de l’enseignement’ appellent à des débrayages pour des raisons non scolaires« , a constaté le ministère de l’Education nationale.

Dans un communiqué, les services de Cheikh Oumar Hann soutiennent que « ces perturbations fâcheuses affectent le déroulement du calendrier scolaire mettant ainsi en péril le droit à l’éducation des élèves« .

Pour rappel, poursuit le communiqué, « si le droit de grève est reconnu aux travailleurs par la Constitution, il s’exerce dans le cadre des lois qui le régissent. Ceux qui cessent le travail en violation des dispositions réglementaires peuvent immédiatement subir toutes sanctions disciplinaires. Il en est de même si la cessation du travail est fondée sur des motifs politiques et non pas sur des motifs professionnels« .

« Le Gouvernement prendra, en toute responsabilité et en toute rigueur, les dispositions idoines pour le respect de la réglementation et la continuité des enseignements-apprentissages. Le département salue le sens des responsabilités et la posture républicaine de la majorité des enseignants qui continuent à œuvrer pour l’émergence d’un système éducatif performant et résilient« , selon toujours le communiqué.

Le ministère de l’Education nationale de réaffirmer « sa volonté et son engagement à fournir une éducation de qualité à tous les élèves et à assurer leur bien-être et leur sécurité dans les écoles et établissements scolaires« .

62 thoughts on “« Débrayages pour des raisons non scolaires » : Cheikh Oumar Hann menace les enseignants grévistes…

      1. Niul

        Il faut tous les mettre en prison: les profs, les parents. Les élèves eux, il faut juste continuer à les tuer. Et faire de même à tous les politiciens et tout ce qui sont contre le coup d’état.
        MSSDLNSYY

      2. Le Drone Furtif de Fimela

        C’est une de citoyenneté les syndicats doivent les dmfer de lance des mouvements citoyens
        Bala nga né nam néfa
        Ce ministre pfff….

    1. Sam le pirate

      ?? Waw DOMÉRAM dji teudjj rapp Ucad ci mataayy pendant des mois en flagrante violations de tous les droits des dizaines de milliers d’étudiants venant des 14 régions du pays khanaa mom il ne mérite pas de lourdes sanctions ? 2Poids 2mesures bii cii rewmi dafa wara daakk…et heureusement que le 2 Avril sorétoul . ?

  1. Domada

    Merci Monsieur le ministre, le peuple sénégalais est fier de vous. On acceptera jamais que nos enfants soient sacrifiés par ces imbeciles pour des raisons purement politiques. Que les enseignants coupables soient radiés ou privés de salaire. Ils envoient leurs enfant dans les écoles privées et privent de cours nos enfants. De vrais domerams.

    1. awdi

      DOMODA.

      Qui a fermé l’université ?
      Ton gourou MACKY SALL NON?

      Où sont ses enfants et celui des minsitres?
      Dans les universités americaines et européennes.

      C’est cela 12 ans de régime de MACKY Sall.

      la force au peuple. ce ministron ne pourra rien faire.
      Macky sall est dans la merdre, il pourra pas se permettre de mettre de l’huile dans le feu

  2. Moussa

    Les enseignants sont des sénégalais qui doivent veiller a l’avenir de leur pays comme tous patriotes.ils sont le droits de lutter quand un apprenti dictateur veut ramener votre Cher pays 300 ans en arrière.plus de 90% des enseignants respecte cette grève.le ministre milliardaire épinglé plusieurs fois de malversations par des inspecteurs n’a de leçons a donner a personne.lui il a un grand intérêt pour que maky qui le protège,reste au pouvoir.

  3. Zack

    Dans un pays normal tu n’aurais aucune responsabilité ?????️?️?️? . Depuis quand, l’Apr ou le bby se soucie du respect des droits ?????? : Avec des prisonniers politiques, opposants bâillonnés, manifestations interdites, libertés de la presse bafouée ( walftv), jeunesse sacrifiée, …….. bande d’incapables, irrespectueux bientôt le grand dégagement

  4. Sagna

    Ne nous conduit pas dans une autre crise. Ton chef a mis le Sénégal dans une crise et si tu en ajoute une autre ce sera dure.
    Ton mentor te demande de négocier avec les syndicats. C’est la seule issue pour surmonter les obstacles.

  5. Zogg

    Les élèves ne doivent pas être mêlés à des revendications politiques. Y’a plus d’enseignants aujourd’hui. C’est les enseignants fascicules, un mois, trois cours.

  6. Zogg

    Que personne ne sorte de prisons. Le bras de fer continue. Continue à vous faire tuer. La vie de ces pères de famille que vous avez sacrifiée aura un répondant. Vous serez tjrs les perdants. Vous êtes les principaux artisans de votre pauvreté qui vous a rendu méchants et aigris, jamais heureux. Pitié

  7. goor

    Voila ce qui arrive quand on confie les destinés de tout un peuple à des amateurs et des politiciens non courageux
    pour moi la première mesure est de dissoudre les APE et couper les salaires de tous ces paresseux

  8. goor

    Ces dits enseignants délogent les enfants des classes et le soir ils partent faire des cours à domicile pour ceux la dont les parents ont de quoi payer sous le regard hypocrite de l’administration et de cette dite société civile
    AIDONS NOS ENFANTS A REUSSIR

  9. Xorom-Sukeur

    Billahi wallahi Sénégal rek ka nekh. Ces crétins d’enseignants politiciens, ils nous parlent de liberté et de démocratie bafouées par macky, et les voilà entrain de bafouer la liberté de ces pauvres élèves.par ces grèves à répétition. Ils combattent macky, tout en bafouant le droit à l’instruction de ces pauvres petits enfants qui sont les véritables dindons de la farce de ces enseignants politiciens

  10. medzo

    L’on ne peut accepter l’idée d’une election pour le 15 décembre, le conseil constitutionnel a fini de faire son travail, aucune crise n’est au Sénégal , que des ruses et des mensonges. Ce Karim n’a aucun poids electoral car le PDS s’effrite, se fond comme beurre au soleil. Seul le conseil constitutionnel est à meme de reporter une election, à meme de fixer une nouvelle date.

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