La commission de contrôle des parrainages, instaurée par le Conseil constitutionnel, fait face à des critiques persistantes concernant les méthodes de vérification des parrainages pour l’élection présidentielle prévue en février. Plusieurs candidats ont vu leur parrainage invalidé, les empêchant de participer au scrutin. La majorité des candidats validés ont été confrontés à un nombre élevé de doublons, rendant difficile la régularisation de leur situation conformément aux règles du Code électoral.
Thierno Alassane Sall, candidat de ‘La République des valeurs Rewum Ngor’, a exprimé ses doutes quant à l’intégrité du système le 7 janvier 2024. Il rejoint ainsi d’autres candidats malheureux dans leur mécontentement et leurs accusations envers le Conseil constitutionnel. Dans un message public : “À l’issue du premier tour de contrôle des parrainages, les plus sceptiques commencent à comprendre que ce système est conçu pour sélectionner les candidats à opposer au pouvoir. Preuve que les doublons sont des fantaisies : mon propre frère aurait parrainé, en plus de ma candidature, celle d’un concurrent”, déclare t-il.
Il soulève également le problème du nombre extrêmement élevé de doublons, estimé à 28 000, qu’il partagerait avec d’autres candidats. Il mentionne spécifiquement la région de Thiès, où selon lui, deux ou trois candidats sans bases notables seraient à l’origine de milliers de doublons.
Sall conclut en mettant en évidence les déficiences du système qu’ils dénoncent depuis 2019, tout en affirmant leur intention de se présenter devant le Conseil constitutionnel pour régulariser ces « doublons ».
Voici le message de Thierno Alassane Sall :
À l’issue du premier tour de contrôle des parrainages, les plus sceptiques commencent à comprendre que ce système est conçu pour sélectionner les candidats à opposer au pouvoir. Preuve que les doublons sont des fantaisies : mon propre frère aurait parrainé, en plus de ma candidature, celle d’un concurrent.
Le nombre incroyablement élevé de doublons, au total 28000, que j’aurais avec d’autres candidats, interroge. Dans la région de Thiès en particulier, deux ou trois candidats qui n’ont pas de bases connues, ont été à l’origine de milliers de doublons.
Ces situations absurdes mettent en lumière les défaillances d’un système que nous n’avons eu de cesse de dénoncer depuis 2019. Nous y reviendrons très prochainement.
Malgré tout, nous serons au rendez-vous du Conseil constitutionnel pour régulariser ces « doublons ».
Ndeysane bayilenn youkhouyi kou mataloule do diale, liyaguena si confrontation Mbeur modanne mounet lalouma soufe, demlenn entrain naidji watt.
Tous des brigands.
Tchim
Vous les opposants, vous avez franchement trahi le peuple :
-même pour dénoncer la forfaiture du pouvoir, des fonctionnaires de l’administration, du conseil constitutionnel… vous y allez en étant dispersés;
-au lieu de vous rassembler sur les éléments importants et communs, vous vous divisez pour crier fort;
-le président sait qu’il a déjà gagné
-à ce rythme, Amadou Ba va gagner les élections au premier tour et haut la main;
-inutile de nous fatiguer;
-je pense sérieusement à voter Amadou Ba, ou à m’abstenir vu votre grande division;
-etc.
Yeineu gnak djom réék
Le président Sonko vous avez prévenu mais jalousie haineux maintenant tu faire quoi rien
Va te faire foutre ailleurs. Tu n’as rien à regretter en ce sens tu as lutter contre SONKO alors que tu sais impértinement que tu n’as aucune chance de remporter une commune d’arrondissement.
Mais ta haine contre Ousmane Sonko ta aveuglé et finalement tu es devenu son farouche adversaire au même titre que macky Sall et kalifa Sall.
Tu ferais mieux te taire pour le bon.