Rentrée académique à l’Ucad, en présentiel : Une date « précise » retenue

La reprise effective des activités pédagogiques en présentiel, au niveau de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, est partie pour s’effectuer après ce mois d’octobre. Pour cause, c’est la décision validée par le Conseil académique de l’UCAD qui s’est réuni le vendredi 06 octobre, sous la présidence du Recteur Ahmadou Aly Mbaye.

Dans un communiqué dont nous avons reçu copie, le Conseil académique de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar a pris en effet un certain nombre de décisions, « après examen et analyse de la situation et conformément au calendrier établi lors de la séance du 12 juin 2023 ».

Parmi celles-ci, le Recteur Ahmadou Aly Mbaye et le Conseil académique relèvent : « la reprise des enseignements en présentiel dans les meilleurs délais ; la tenue des discussions jusqu’à la mi-octobre, avec les amicales des étudiants au niveau des établissements afin de bâtir des consensus forts nécessaires à un climat apaisé ; la poursuite en distanciel des activités de remédiation ou d’évaluation pour les établissements qui le souhaitent ».

Il faut aussi noter que le Conseil académique a notifié que « les prestations du Coud restent suspendues jusqu’à nouvel ordre ». Au final, le Recteur Ahmadou Aly Mbaye et cie ont validé « la convocation d’une séance élargie du Conseil académique au plus tard le 31 octobre 2023 pour fixer les modalités d’une reprise effective des activités pédagogiques en présentiel ».

2 thoughts on “Rentrée académique à l’Ucad, en présentiel : Une date « précise » retenue

  1. Illetrée

    J’aurais pensé qu’après les événements du 02 juin dernier , que le recteur prendrait des mesures drastiques pour reglementer l’accès à l’ucad. J’aurais aimé entendre une réforme forte de ttes nos universités avec interdiction de rassemblement politique et religieux entre autres …

    1. Chérif

      L’université est un espace éminemment politique. Il ne peut y avoir d’autres règles à part. L’université n’est pas un État dans un État. Par conséquent, des lois et règlements fantoches ne sauraient réduire cet espace jadis vivant au silence. Vous vous fatiguez pour rien.

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