La situation des familles de migrants nigériens à Dakar est préoccupante. Fuyant la guerre et le terrorisme dans leur pays d’origine, ces familles, pour la plupart musulmanes, ont été contraintes de chercher refuge dans la capitale sénégalaise. Malheureusement, elles se retrouvent sans aucun endroit où vivre, ce qui les pousse à occuper les marchés et les places publiques de la ville.
Ces groupes, parfois composés de familles entières, sont contraints de s’installer dans des cabanes de fortune, fabriquées à partir de tissus ou de nattes. Le manque de logements et d’infrastructures d’accueil a poussé ces familles à vivre dans des conditions extrêmement précaires.
Le lycée Blaise Diagne, situé à Dakar, est particulièrement touché par cette situation. La présence massive de ces familles de migrants est frappante et ne peut être ignorée. Les élèves et le personnel du lycée seront bientôt confrontés à cette réalité au quotidien, ce qui peut avoir un impact sur l’environnement scolaire et sur la vie des élèves.
Il est important de souligner que ces familles de migrants sont des personnes en quête de sécurité et de meilleures conditions de vie. Elles ont été contraintes de quitter leur pays d’origine en raison de conflits et de menaces terroristes, et elles cherchent simplement un endroit sûr où reconstruire leur vie.
Face à cette situation, il est crucial que les autorités locales et les organisations humanitaires travaillent ensemble pour trouver des solutions durables. Il faut s’efforcer de fournir un logement décent à ces familles, ainsi que des services essentiels tels que l’éducation, les soins de santé et l’aide juridique. Il est également nécessaire de sensibiliser la société sur les défis auxquels ces migrants sont confrontés, afin de promouvoir la solidarité et l’inclusion.
En fin de compte, il est essentiel de reconnaître la dignité et les droits de tous les individus, quelles que soient leurs origines ou leur situation migratoire. La situation des familles de migrants d’origine nigérienne à Dakar appelle à une action concertée pour leur offrir un avenir meilleur et plus stable.
Le Sénégal prépare la guerre contre le Niger, et, les nigeriens débarquent sur Dakar. Bientôt Antoine Diome connaîtra le vrai terrorisme. De grâce que personne ne nous dis que sont des éléments de PASTEF qui terrorisent les sénégalais. Si vous croyez que Dakar bombarde le Niger et que les nigeriens restant calme à Dakar vous vous trompez.
Les sénégalais sont d’habitude très accueillant si le gouvernement montre la voix beaucoup de familles prendront ces réfugiés chez eux . On est des frères il faut qu’on s’aident.
Il faut les deguerpir du lycee et les renvoyer dans leurs pays d’origine. Un pays doit etre organiser.
DEUK TU ES LE PLUS GRAND IMBECILE DES REPONDEURS AUTOMATIQUES
Si la France fait de mm vous dîtes qu’ils sont racistes
c’est vrai
L’hospitalité est une des cartes d’identité du Sénégal.
Cette situation doit être portée rapidement à la connaissance des Autorités qui certainement prendront les dispositions idoines permettant à nos Frères de vivre dignement chez nous.
La manière utilisée pour relater la situation est impropre et doit être rectifiée .
Chacun doit savoir que le Sénégal est jugé à travers ce qu’il écrit .
Vive tahiirou Sarr
Le Sénégal n’est plus ce beau pays qu’il était jadis. Macky l’a complètement détruit. Rappelez de Hissène Habré et vous comprendrez. Abdou Diouf gneuw na ba dém meussou ko lale, Wade gneuw ba dém meussou ko lale. Doméram dji gneuw sank domou diambour dji pour les beaux yeux de Brody. Après sa presidence, j’espère aussi qu’il y’aura l’association des familles de victimes qui portera plainte contre ce doméram et qu’il subira le même sort que Habré.
Capain doussi Wade la commencé. C’est lui qui a ouvert la porte en demandant de l’argent pour organiser le procés.
Ces deux là sont pareils
Le Sénégal n’est pas un état souverain pour prendre en charge des réfugiés tout le peuple sénégalais est en difficulté les familles vivent le martyrs
Ces pauvres étaient là bien avant cette guerre et ce coup d’état . Ils ont été renvoyés une première fois par leur ambassadeur après un reportage d’une chaîne TV de Dakar et ils sont revenus en masse parce que les premiers venus avaient vanté les qualités , la générosité et l’esprit de tolérance des sénégalais.
A mon avis il faut les accueillir (eux ils ont besoin des sarakh) et inscrire les enfants surtout à l’école. Tous les enfants