Touba-Sham Guy Gui : « 27 filles violées par Serigne Khadim Mbacké » (Vidéo)

Les autorités de la République doivent prendre des mesures pour enquêter et éclairer la lanterne sur les accusations de viol de 27 filles à Touba, dans le quartier de Sham « Guy Gui ».

Les Mamans de ces filles abattues et très déçues, ont lancé un cri du cœur…« Nos 27 filles ont été violées par Serigne Khadim Mbacké à Sham… », a dénoncé l’une des mamans des deux filles, Binta Tall, victimes de viols et d’attouchements par leur maître coranique…

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8 thoughts on “Touba-Sham Guy Gui : « 27 filles violées par Serigne Khadim Mbacké » (Vidéo)

    1. Ecky

      Et où sont ces hypocrites politiciens, Mame Mactar de Jamra,Mboup de Saamme Jicko yi…?Ces lâches ont peur de s’attaquer aux lobbys maraboutiques et religieux.

  1. Penseur Libre

    Sénégal: 27 filles violées par le pervers “Serigne” Khadim Mbacké

    Cet imbécile, mérite-t-il encore le titre de serigne? Mais bon, on est au Sénégal…..

    Ça, c’est extrêmement grave et soulève des préoccupations fondamentales concernant la responsabilité, la protection des victimes et les dangers du fanatisme religieux dans le monde et au Sénégal en particulier. Il est important de noter que les opinions et les actions des individus peuvent varier considérablement, et il serait injuste de généraliser l’ensemble des personnes vivant de la religion ou des pratiquants religieux sur la base des actes répréhensibles commis par certains individus comme ce chien de Khadim Mbacké.

    Cependant, il est indéniable que les abus commis par des individus se présentant comme des guides religieux ou des “serignes Daara” sont inexcusables et doivent être condamnés avec la plus grande fermeté et ce, quelle que soit la famille dont est issu ce salopard de Khadim Mbacké. Son statut familiale ne peut pas constituer un prétexte pour lui permettre de perpétrer ces actes répréhensibles et ignobles et rester impuni en se volatilisant juste comme ça dans la nature et qu’aucun média officiel au Sénégal n’en parle. Ce qu’il a fait s’appelle abus sexuels sur des mineurs avec violence. Ces actes sont des crimes graves qui doivent être traités avec sérieux par les autorités sénégalaises, quel que soit le statut ou l’origine de ce pervers narcissique. Et pourtant le pays est en feu et en sang depuis avant hier et est tenu en haleine depuis deux pour le même problème et on parle d’une fille en l’occurrence, Adji Sarr dont le présumé violeur Ousmane Sonko est poursuivi. Qu’en est-il de ce monster froid de Khadim Mbacké qui a violé 27 filles?

    Il est tant de reconnaître les dangers du fanatisme religieux dans ce pays qui file tout droit vers la merde et comme disait El Hadji Mouhamad Moustapha Ngom “Au Sénégal, ceux dont on attend l’exemple de droiture et de piété sont les plus déroutants” et bien sûr il faisait allusion aux réligieux. Nous constatons tous une adhésion extrême à des croyances religieuses, qui conduit à l’intolérance, à la radicalisation et à la justification de comportements violents au nom de la religion. Le fanatisme religieux au Sénégal a des conséquences dévastatrices, tant pour les individus nous sommes que pour notre sociétés dans son ensemble. Nous assistons à des divisions qui alimentent la haine, la discrimination et la violence, et compromettent la coexistence pacifique entre les communautés.

    Il est crucial de promouvoir une approche équilibrée de la religion, qui encourage la tolérance, le respect mutuel et la liberté de pensée. Il est plus que temps que les sénégalais prennent leur courage à deux mains et dénoncent avec la dernière énergie ces idioties. Rien, vraiment absolument Rien ne devrait justifier ces actes illégaux et ces comportements de prédateur sexuel. Le Sénégal doit mettre en place des mécanismes de protection des victimes, des enquêtes transparentes et indépendantes, et des mesures de prévention pour éviter que de tels abus ne se reproduisent.

    Il est également nécessaire de promouvoir l’éducation, un dialogue honnête et transparent, la sensibilisation pour lutter contre ce genres d’actes. La critique constructive, basée sur des preuves et des valeurs universelles de justice et de respect des droits humains, est essentielle pour un Sénégal plus équitable et plus juste.

    Nous savons que de nombreux religieux et pratiquants engagés font œuvre de bien dans les communautés, en offrant un soutien moral, social et spirituel à ceux qui en ont besoin. C’est pour cela que je ne généralise ou ne stigmatiser pas l’ensemble des personnes vivant de la religion en raison de ces actes commis par certains égarés comme c’est le cas de ce vieux pervers.

    Il est de la responsabilité de la société sénégalaise, des autorités et des individus de faire en sorte que la religion soit vécue de manière respectueuse, en promouvant les valeurs d’amour, de compassion, de tolérance et de respect des droits humains. Cela nécessite une vigilance constante, une éducation adéquate et une remise en question des pratiques et de certains discours qui font croire à certains imbéciles que les “doomou soxna” comme on les appelle communément au Sénégal sont des “saints”. Ils ne le sont pas. La prevue est là.

    Les autorités sénégalaises doivent jouer leur rôle en garantissant l’application de la loi et la protection des droits des victimes. Les lois doivent être renforcées pour prévenir et sanctionner les abus sexuels et les violences commis au nom de la religion. Les enquêtes doivent être menées de manière rigoureuse, impartiale et transparente, sans aucune forme de protection ou de privilège accordée aux auteurs présumés en raison de leur statut religieux ou de leur famille.

    La société dans son ensemble doit encourager un dialogue ouvert et honnête sur les problèmes liés à la religion, y compris les abus et les dangers potentiels du fanatisme religieux. Il est essentiel de remettre en question les normes et les pratiques qui perpétuent les abus et de promouvoir des valeurs d’égalité, de justice et de respect des droits humains pour tous.

    La responsabilité individuelle est également primordiale. Les pratiquants religieux doivent être conscients de leur rôle en tant que représentants de leur foi et veiller à ce que leurs actions soient conformes aux principes fondamentaux de leur religion, tels que l’amour, la compassion et le respect de la dignité humaine. Il est important de rejeter toute forme de violence, d’exploitation ou de manipulation au nom de la religion.

    Enfin, il est donc essentiel de s’attaquer de manière proactive aux problèmes liés aux dérives et aux abus religieux, tout en préservant le respect des croyances et des pratiques religieuses légitimes. En mettant en œuvre des mesures préventives, en poursuivant les auteurs présumés d’abus et en promouvant un dialogue ouvert et critique, nous pouvons espérer prévenir de tels incidents à l’avenir et créer un environnement plus sûr pour tous.

    Penseur Libre

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