Ce mardi 25 avril s’est tenue la cérémonie officielle de prise de commandement du général de corps d’armée Mbaye Cissé, au quartier Dial Diop. Le nouveau Chef d’État Major Général des Armées à décliné, lors de cet événement présidé par ministre des forces armées Me Sidiki Kaba, les axes majeurs autour desquels il va exercer son commandement.
La longue lignée des chefs militaires…
« Je voudrais d’emblée vous assurer que toute mon énergie sera consacré à ma mission, pour donner corps à la volonté maintes fois exprimée du chef suprême des armées, de doter notre pays d’un outil de défense performant, en phase avec les défis sécuritaire multiformes qui interpellent les nations en marche comme la nôtre… Les armées se sont forgé un renom que nous devons à la longue lignée des chefs militaires qui ont su bâtir, avec courage et abnégation, un outil de défense crédible et respecté« , souligne le nouveau Chef d’état-major général des armées.
Ses ambitions…
Non sans rappeler qu’il lui revient, « à présent l’insigne honneur et le redoutable privilège de porter cet héritage, en maintenant vivace le flambeau pour rejoindre le cycle des transformations positives dans lequel notre institution s’est engagée depuis maintenant plus d’une décennie… Mon ambition est d’œuvrer, en permanence, à la consolidation d’une armée, prête à l’emploi par son organisation et son sens de l’anticipation, réactive par sa flexibilité et son aptitude à circonscrire les menaces intérieures comme extérieures« .
Retrouver définitivement la paix…
Le Général Mbaye Cissé assure ainsi que « la sécurisation effective et totale du sanctuaire national restera notre credo pour retrouver définitivement la paix, et participer au retour à une vie normale des populations longuement éprouvées. Dans l’intervalle, la traque de l’économie criminelle du bois et de la drogue y sera menée sans répit, tout en envisageant un décentrement opérationnel rapide vers d’autres zones potentielles d’intervention« .
Veiller scrupuleusement aux exigences de notre sacerdoce…
Et face aux sirènes de l’incertitude et du chaos, à l’exposition médiatique débridée dans les réseaux sociaux, le nouveau CEMGA repris par « Sud Quotidien » demande d’opposer l’éthique de soldat, « c’est-à-dire la discipline, notre piédestal le plus sûr. Opposons la discrétion, le devoir de réserve, la solidarité et surtout la confiance absolue en la hiérarchie. J’engage donc tous les échelons de commandement à veiller scrupuleusement aux exigences de notre sacerdoce, tout en cultivant au quotidien, le culte du travail bien fait, l’équité, le mérite, le respect mutuel, l’enthousiasme et la saine camaraderie, valeurs qui fondent notre identité de soldat et, à ce titre, doivent demeurer des points de vigilance pour chacun et pour tous« .
nègre de service, il va t’utiliser pour fonder son pays ethnique. Après il va te foudre à la porte comme il a fait aux autres qui ne sont pas de son ethnie.
Si soutenir les oppresseurs, même avec un fragment de datte, ou même par le simple souhait qu’ils restent en vie, est une chose contre laquelle les Imams d’Ahl-ul-Bayt ont mis vivement en garde les Musulmans, quel péché impardonnable serait de participer à un gouvernement oppresseur, d’accepter d’y occuper une fonction ou de lui prêter serment d’allégeance, ou pis encore, de faire partie des piliers d’un pouvoir injuste et de contribuer activement à l’installation et à la consolidation de ce pouvoir. Car, comme l’a dit l’Imam al-Çâdeq, « un régime oppresseur, c’est le minage de tout le bon droit, le ravivage total du faux, la résurgence de l’injustice, du despotisme et de la corruption