« Barth mogni guen jégué Macky ndakh bayam falay liguéyé di dieul ci alal ji dici togg tiéb… »

Apparemment Babacar Fall ne compte point lâcher Barthélémy Dias. Invité de Ndekki sur Sud FM ce jeudi, le journaliste annonce que désormais, c’est œil pour œil, dent pour dent. Pis, le directeur de la rédaction de Rfm de tirer à boulets rouges sur le maire de Dakar. Pour lui, Barthélémy Dias ne devrait même pas piper mot puisqu’il est plus proche de Macky Sall qu’eux qui travaillent au Gfm. Ce, dit-il, «parce que son papa, Jean Paul Dias, travaille avec le Président Macky Sall. L’argent qu’il gagne là-bas les nourrit».

25 thoughts on “« Barth mogni guen jégué Macky ndakh bayam falay liguéyé di dieul ci alal ji dici togg tiéb… »

  1. Dougal

    On peut dire la même chose pour toi car avec les relations qui lient ton patron avec le régime on peut soutenir que les avantages et les prébendes tirent de cette proximité te nourissent

  2. Prof

    C est bien pour la gueule nauséabonde de ce Barthélemy Diaz. Aucune qualification, il n a que sa bouche pour insulter. Babacar na baisse pas les bras. Ces imbéciles ne méritent que injures.

  3. Billy

    Mome mi tamitt li you di tibè si maki lay toqué tiep ndax mokoy faye am dét? Tout ça parce que votre groupe est critiqué? Mais vous êtes qui ba kène doulène toudd yène??? Di woté démocratie , élégance té doxèwolène ko. Bordel, il a trouvé le combat de sa vie le gus. Mbél mbél mbél pour une phrase dans une émission, purée c’est minable.

  4. Senegal

    Ce journaliste n’est pas a la hauteuŕ de son art s’il ignore que l’argent payé par macky au père de barth appartient a l’etat dont nous sommes tous des contributeurs. Donc il n »ya aucun mal a ce que l’etat nourrisse licitement ses enfants

  5. Rambo

    MERCI BABACAR . Comment ce tueur dont le papa cire les chaussures de Macky peut venir insulter des journalistes pour leur proximité avec le Président. Vraiment il est temps que la presse refuse de ramper devant ces idiots de l’opposition qui veulent mettre les dignes fils de ce pays sous leur botte.

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