Depuis quelques temps, l’AJMS constate, pour le regretter, une recrudescence de l’émigration irrégulière au Sénégal. « Il ne se passe pas une semaine sans que la presse locale ne se fasse l’écho de cas d’interpellation de candidats à l’émigration« , regrette l’Association des journalistes en migration et Sécurité qui rappelle l’interpellation des 183 candidats, à Mbour par la Marine nationale, dans la nuit du mardi à mercredi.
Les exemples n’en finissent pas…
« Ces derniers s’apprêtaient à embarquer dans deux pirogues lorsque les forces de l’ordre les ont aperçus. Le 18 Septembre 2020, 73 personnes dont 72 Sénégalais, un Gambien, en partance pour l’Espagne via une pirogue ont été aussi interpellées par la gendarmerie de Fimela (Fatick). Parmi ces candidats malheureux à l’émigration irrégulière, figurent 7 femmes. Le 22 Septembre 2020, soit quatre jours après, la section de recherches de la Gendarmerie a arrêté 14 individus qui se préparaient à rejoindre clandestinement l’Espagne, à la cité Tacko, à Rufisque« , rappelle toujours l’AJMS.
Une situation qui préoccupe, « sérieusement » l’Association des Journalistes en Migration et Sécurité(AJMS) au moment où tous les esprits sont tournés vers la lutte contre la pandémie du Coronavirus.
Invite à l’Etat…
A cet effet, l’AJMS invite l’Etat du Sénégal à apporter une « réponse appropriée » au phénomène de l’émigration irrégulière qui a couté la vie à des milliers de jeunes. « A la quête d’un mieux-être, ces candidats à l’émigration irrégulière ne demandent qu’à être écoutés, soutenus et accompagnés par les autorités dont le rôle est de créer les conditions de leur épanouissement dans leur terroir. Il faut le dire, la persistance de l’émigration irrégulière traduit l’échec de la politique de jeunesse mise en place par l’Etat à travers les structures dédiées (l’Agence nationale pour la promotion de l’Emploi des jeunes(ANPEJ), la Direction générale des Sénégalais de l’Extérieur(DGSE), Agence nationale de la Maison de l’Outil (ANAMO)…)« , dénoncent-ils.
De plus en plus des femmes et des enfants…
« D’ailleurs, le président de la République semble l’avoir reconnu en annonçant, lors du Conseil présidentiel sur la relance de l’Economie nationale, qu’il va mettre à contribution la Délégation générale à l’Entreprenariat rapide(DER) pour accompagner les potentiels candidats à l’émigration irrégulière« , souligne le Président de l’AJMS, Daouda Gbaya. Non sans saluer « cette annonce et exhorte l’Etat à faire de la question de l’émigration irrégulière une supériorité d’autant plus qu’elle concerne de plus en plus des femmes et des enfants« .
cest une honte pour lafrique nos chefs detats sont nule cest honte nos enfants prennent les pirogues un avenire meilleur trop de vole de malversances de vole de detournemt de denier publique des profitards nèe le general Daugaul. lavait dit aux porteurs de plancardes . de ne pas acceder a lindepence .
en réalité le gouvernement n’a pas de solutions pour sa jeunesse
Après l’esclavage forcé, voilà notre jeunesse, notre espoir qui de grè fout le camp. Comme l’Europe, il nous restera que nos vieillards.
apportez une solution a ca c est quoi des gens qui veulent quitter le pays qu est ce que l etat peut faire s ils prennent les embarcations avec la complicite de leurs parents ils se cachent et vous voulez mettre tout sur le dos de l etat vraiment certains senegalais sont chiants qu est ce qu ils font en europe et puis parmi ces gens la majeur partie n ont aucune qualification professionnelle ils vont trainer labas ou faire des choses interdites par ces pays.
JUSTE ARRETER DE VOLER LES BIENS DU PEUPLE.
DES MINISTRES QUI DONNENT DES MILLIONS DE FRANCS EN GUISE DE ADIYA.
Ce n’es pas une honte c bien mouvement de masse parceke même les oiseaux migre pour trouver de la nourriture ????????