Le Tong-tong des gazelles Oryx par le régime actuel continue. Après les ministres Abdou Karim Sall et Aly Ngouille Ndiaye, le frère de Marieme Faye Sall, a aussi bénéficié des espèces protégées.
A en croire WalQuotidien qui lève le lièvre, Mansour Faye vient allonger la liste des bénéficiaires. Le beau-frère du Président a reçu son quota de gazelles Oryx.
Aly Ngouille accablé
Après le ministre Abdou Karim Sall, Aly Ngouille Ndiaye a également bénéficié d’un quota de six gazelles oryx. D’après Kritik, le ministre de l’intérieur a fait exfiltrer ces animaux de la réserve publique du Ferlo sous la supervision de la Direction des parcs nationaux (DPN) avant de les envoyer dans sa ferme privée.
Des oryx finissent en grillade
Cette espèce protégée avait disparu du Sénégal, avant d’être réintroduite à partir d’Israël en 1999. Mais deux d’entre elles sont mortes lors de leur transfert entre une réserve publique et une ferme privée du ministre de l’Environnement, Abdou Karim Sall.
J’ai consulté bon nombre de personnes , mais jamais de satisfaction totale.
Me voilà d nouveau fertile puissant, et avec un bon tonus sexuel
Meduim.002.2*96.0*40.1*52.3
Faites comme moi pour guérir
mais pourquoi le président di sétane ces ministre di sedo les oryx vraiment li metina diay dolé deug ces traîtres ont gâché notre parti
Modou KHARALE BA
KHAME PRESIDENT BI
LOUMOU CI AME???
DAFAMELNA, MACKY SALL
DAFA WAKHE SAUVE QUI
PEUT???
Effectivement. L’Oryx est l’Animal symbole de la péninsule Arabique, il avait disparu du Sultanat d’Oman en 1972. Sa réintroduction a été gâchée par un projet pétrolier et les animaux mis en liberté subissent la loi des braconniers. Les dirigeants emiratis ont mis en place un plan tres ambitieux de réintroduction des oryx dans la réserve d’al-Wusta. Ce qui se passe au Senegal n’est point fortuits.
On attend encore ceux qui vont suivre sur la liste. Mais bon c’est ça le Sénégal dou mouje fene
s’ils se permettent de se faire plaisir en se partagent les animaux, j’imagine donc que nous citoyens sénégalais sommes devenus que de simples hébergés au sein de notre propre territoire .les ressources partagés ainsi que les terres et maintenant les animaux.que devons nous faire maintenant ?aller trouver d’autres nationalités ou les faire partir ou de subir indéfiniment.
telle pere telle fils nous pauvre ont paye les pots cassèes cest vraiment domage lafricain est modie il passenttous leurstemps a detruire lafrique francement lafrique ne merite pas sont independance ya trop de partage du gateaux lafricain ne travaille pas ilninventent rien il nont pas de matiere grise zeris est pourtant le generaldaugaul lavait dit aux porteurs de plancarde les uns vie les autres ne vie pas moi je me demande pour quoije suis un africain francement nosdirigeants nous fait honte trop de vole est de gaspillayes le president detient tous les pouvoires dailleur le president macky sall la dit un grand bandit saltee il dit avec sont coude il protegent les voleurs de sont camps ya beaucoup dexcemples inchalla cher president dieu ta vue tu vas quitter ce pouvojiredune maniere indigne estdemain inchalla il feras jour est demain cest la tombe est cette tombe elle est infoudriable tout centimes que tu a prie avec ton gouvernement devant dieu tu vas rendre compte inchalla dieu ne ment jamais tous ce quil dit il le feras inchalla
LES VOLEURS DE MILLIARDS, D’ANIMAUX, DE TERRES DE LA REPUBLIQUE, ENTRE DÉRAISON ET CYNISME
Ces fossoyeurs contribuent non seulement à l’instabilité et au sous-développement du pays, mais ils suscitent et ravivent la perversion des mœurs et la dégradation des valeurs. Quand je vois cet homme derrière tous les problèmes de biens stratosphériques, je me dis soit j’ai des illusions d’optique soit les journalistes ont dû se tromper. Que nenni ! C’est la triste réalité. À la question jusqu’où peut mener la cupidité
On ne devient pas bourgeois en 2 mandats, ça s’hérite. C’est d’abord dans l’esprit, un comportement calme, d’aisance de vie familiale depuis une centaine d’années. La pauvreté marque le mental pendant des dizaines d’années, d’où cette tendance d’insatiable, à l’accaparement, la peur de manquer.