Aucun client à l’horizon, un stock de viande en permanence. Le covid-19 affecte aussi les bouchers de Touba qui aiguisent leurs hachcs, à longueur de journée.
Un silence de cimetière dans les marchés
Les bouchers de Touba éprouvent des difficultés à rentrer dans leurs fonds à cause de la pandémie du covid-19. Les gens qui se ravitaillaient fréquemment chez eux se font désirer. De même que les boeufs provenant de la Mauritanie ou du Mali qui approvisionnent les marchés.
Un stock onéreux
Ce boucher dit vendre, en temps normal, un poids de viande équivalent à un boeuf. Un stock qui s’épuise difficilement en quatre jours. S’y ajoute que cette viande génère des frais, à cause du conditionnement.
Regardez :
ce pays ya trop dignorant il pense qua avoire largent ya pas de noblesse dans nos paysa cause de la pauvretè