Des signes de défaillances techniques de l’appareil à l’aller: difficile pour l’heure de cerner les causes du crash de l’hélicoptère de l’Armée sénégalaise dans la mangrove de Missirah dans la commune de Toubacouta, mais des témoignages recueillis sur place à Brin, à travers certains qui ont emprunté le vol quelques heures plutôt, laissent présager beaucoup d’inquiétudes et d’incertitudes. Ces témoignages dégageaient des signes d’alerte de l’appareil venant de Ziguinchor. Une dame bouleversée, selon Sud quotidien, et qui a préféré garder l’anonymat annone des signes précurseurs: « j’ai fermé les yeux durant tout le trajet, de Dakar à Ziguinchor tellement j’avais peur, mais je ne pouvais imaginer que le retour serait fatal pour mes parents ».
Un autre proche parent des victimes rencontré à Brin soutient: « on sentait l’odeur du kérosène même et je ne comprenais rien. En venant à Ziguinchor, l’appareil n’est pas stable ». Une accumulation de faits qui soulèvent ainsi quelques interrogations sur certains détails qui seront certainement exploités pour élucider les sénégalais sur les réelles causes de ce crash de l’hélicoptère à Missirah qui a fait huit (8) morts et douze (blessés).
Robert Sagna perd cinq (5) proches: « le président Macky Sall m’a appelé parcequ’il pensait que j’étais dans le vol d’autant que je devais repartir. Mais compte tenu du fait que beaucoup de villages et de personnes étaient venus présenter leurs condoléances, je ne pouvais plus repartir le même jour. C’est ce qui a fait que nous avons repoussé notre voyage, mon épouse et moi », témoigne l’ancien maire de Ziguinchor. Parmi les victimes, Robert Sagna liste: « la plupart sont des membres de ma famille. Il faut compter deux de mes beaux-frères, c’est-à-dire des maris de deux de mes soeurs qui ont péri dans l’accident. J’ai perdu aussi un cousin germain, son père est le grand frère de ma mère. Il y a aussi mon neveu et une parente, Eliane Diatta », regrette-t-il.
Pensons à la maintenance des appareils, le manque de sérieux sur la maintenance des appareils en Afrique est remarquable et ça se paie cache. Soyons fermes la dessus!!! Arrêtons de compter sur Yallah bakhna. Copions sur les bonnes habitudes de l’occident. Biensûre, prompt rétablissement aux blessés et paix aux âmes disparues
Pensons à la maintenance des appareils, la manque de sérieux sur la maintenance des appareils en Afrique est remarquable et ça se paie cache. Arrêtons de compter sur Yallah bakhna. Copions sur les bonnes habitudes de l’occident. Biensûre, prompt rétablissement aux blessés et paix aux âmes disparues
Ces héli mi17 sont d’origine russes ou chinois ! Du matériel qui probablement est de seconde main ! Du chinois qui arrivent en afrique ne peut être bon !
Mais condeleance a la famille sagna de brin amen