Une réunion de sensibilisation et de partage sur les projets de reforme du sous-secteur du transport routier, s’est tenue ce jeudi 29 dans un hôtel de la place. Il s’agit de discuter avec les différents acteurs sur la sécurité routière. Mais les acteurs locaux qui saluent la mesure exigent des mesures d’accompagnement pour ne pas subir la pression des forces de sécurité.
Le Directeur du transport routier accompagné de Malick Ndiaye, conseiller technique en transport routier a tenu une réunion de sensibilisation et de partage sur les projets de reforme du sous -secteur du transport routier dans un hôtel de la place.
Cheikh Omar Gaye a laissé entendre que « cela fait suite aux violents accidents de la circulation, ayant coûté la vie à prés de 14 personnes à hauteur de Koupentoum que le chef de l’Etat Macky Sall nous a instruit de réfléchir sur la délivrance des permis, mais aussi sur le contrôle routier avec une tolérance Zéro ».
Le Directeur du transport routier Cheikh Omar Gaye déclare : «nous sommes venus pour sensibiliser les acteurs sur la sécurité routière et partager avec eux les projets et les reformes que l’Etat compte mener dans le sous-secteur des transports routiers ». S’agissant de la sécurité routière ,il soutient qu’on a enregistre prés de 68 morts sur nos routes depuis le Magal à nos jours.
Le bilan le plus lourd remonte au 13 Décembre à hauteur Koumpentoum où on a enregistré un accident de la circulation qui a fait 14 morts dont 12 corps calcinés.
Et de rappeler aux usagers à leur responsabilité suite à la sortie du chef de l’Etat qui demande qu’on revoit les conditions d’examen du permis de conduire, la délivrance des visites techniques les contrôles techniques des véhicules et du contrôle routier .
Et de renchérir que le dénominateur commun de tous ces accidents de la circulation reste le facteur humain. Ces gens ont l’habitude d’incriminer trois facteurs : humain, la route et le véhicule. Pour ces deux derniers éléments, il faut dire que l’Etat est en train de faire beaucoup d’efforts dans le réseau routier aussi bien dans l’entretien où il dépense prés de 60 milliards
En ce qui concerne le deuxième point, il faut souligner que l’Etat a mis en place un centre de contrôle technique routier à Dakar et on est en train de travailler pour la généralisation. On a déjà lancé les appels d’offres .
(Avec l’As quotidien)
Wakh wakh rek depuis qu on parle de permis à point au Sénégal nana la Côte d ivoire la fait sana tambour ni trompette.On veut une date butoire et des échéanciers mais pas des séminaires .
occupez vous
– des 2.ooooooo de faux permis de conduire en circulation.
-de la visite technique dans les regions
et du mobilier hurbain (feux-rouges et autres) qui font tellement defauts au senegal
permis a points = plus de moyens de chantages des policiers sur nos routes ni plus ni moins
et que feront nous des permis etrangers qui ne sont enregistre nul part au senegal.
ce n est pas une priorite. 10 minutes par jour de mediatisation de conseils sur les principaux comportements nuisibles aiderai a lutter contre l ignorance de nos conducteurs.
nuisibles