Dr Cheikh Kanté, avait licencié près d’un an après sa prise de fonction quatre (4) cadres. Il s’agit entre autres de Moussa Sy (chef des services de la Coopération internationale et des Relations extérieures), Diaham (chef du service de la Facturation et du suivi), Jean-Baptiste Diop (chef de la Cellule des études et planification)…. Tous des cadres supérieurs avec rang de Directeur sectoriel.
Joint à l’époque au téléphone par « le Quotidien », Cheikh Kanté avait précisé être dans son droit de se séparer de travailleurs qui ont « refusé de se soumettre à une décision qu’il a prise ». Alors que dans les couloirs, ce sont des raisons toutes autres qui sont évoquées. Tout le monde est certain qu’il les a licenciés pour « délit de proximité avec son prédécesseur Bara Sady »,peut-on lire sur Jotay.net.
Mardi dernier, après 3 ans de bataille judiciaire acharnée, la Cour d’Appel de Dakar a rendu son délibéré: « le licenciement est abusif, le Port condamné ». Un désaveu et un camouflet énormes pour le Directeur général du Port autonome de Dakar qui n’a pas encore exécuté la sentence. Selon certains de ses proches, Cheikh Kanté se réfugie derrière le fallacieux argument selon lequel la décision ne lui a pas été notifiée. Comme si c’est la Cour d’Appel qui doit lui notifier un jugement…
Pour rappel, outre leurs salaires, ces derniers ont tous perdu leurs avantages, liés aux charges, dont les véhicules de type 4X4 Touareg et leur sursalaire de plus d’un million de francs CFA par mois. « Dr » Cheikh Kanté, qui se prend pour le propriétaire du Port Autonome de Dakar, a ainsi privé ces pères de familles d’environ 36 mois de salaire…
vs dites « chef service facturation » et vous lui donnez un rang de directeur…. et puis toutes ces personnes licenciées n’ont pas perdu leur vehicule. enfin bref, cet article ne me parait absolument pas objectif
J’espère kils seront indemnises
tu espre moussa moi je ne crois pas a ce regime
Il n’est plus à prouver que le Directeur Général du Port est un illettré par excellence pour avoir refusé d’appliquer une décision de justice prise au nom du peuple Sénégalais.
En effet tout intellectuel tant soit peu est en mesure de comprendre qu’une décision de justice est implacable. Tout ceci invite à revisiter le parcours effectif des diplômés de France qui exercent au Sénégal.
Un bon nombre n’a aucune traçabiiité d’études au pays. Certaines Universités Françaises délivrent à ces rebuts Africains des diplômes dont des thèses de doctorat en estimant qu’ils ne peuvent l’utiliser que dans leur pays. C’est grave ! Les relations Franco-Africaines méritent d’être revues à cet effet. Je développerai ce point dans mes prochaines interventions.
M. Thiémoko DIAKITE