Les hommes en bleu, qui ont fait une descente sur les lieux du crime, ont mis la main, d’après Sud Quotidien, sur le compagnon d’infortune de la victime interrogé pour des compléments d’enquête. Le père du défunt, qui évoque la piste d’une embuscade, est convaincu que son fils a été tué par des gens tapis dans l’ombre qui convoitent ses terres. « Le mode opératoire des rebelles me pousse à dire que ce ne sont pas les rebelles qui ont tué Benjamin, car une personne a été arrêtée par ces inconnus avant mon fils. Ils ont libéré cette personne qui, pourtant, allait faire des achats en Guinée-Bissau. Donc, mon fils était leur cible, j’en suis persuadé… », a laissé entendre le père de la victime, Albinou Malou, qui a déposé une plainte contre X à la gendarmerie.
Même si le seul témoin de ce drame est formel, Benjamin Malou a été froidement abattu, il reste que les réelles motivations des bourreaux de benjamin sont encore inconnues. En attendant les résultats de l’enquête ouverte, Sud quotidien rapportent que c’est la consternation dans les villages situés vers Mpack. Cet assassinat de Benjamin Malou, dans la forêt de cette zone frontalière, remet au goût du jour la question de l’insécurité qui n’est pas totalement surmontée le long de la frontière entre le Sénégal et la Guinée-Bissau. Parfois, ce sont des histoires de bétails qui sont sources de violences dans ces zones.
l'insecurite est parout au senegal car meme a Dakar on abat des gens presque chaque semaine donc n'essayer pas de faire peur aux gens qui veulent faire des affaire dans cette zone
sama way xamal sa boop mo guenn…si toi t'as envie de faire des affaires la bas et bah vas y. En tous il faut etre un fou pour faire des affaires dans cette zone frontalier
Ils faut l'etat sénégalais prennent régourement leurs disposition pour empêché ça reproduise .le Casamance et le umpack devrait pas avoir cette zar de situation la