Le quotidien l’Observateur lu pour vous par senego, rapporte que Macky Sall s’est confié à ses proches au sujet de l’humiliation qu’il a vécue à l’université le 31 juillet dernier. Et, selon nos confrères, c’est pour afficher la fermeté à l’endroit des « coupables ». En effet, le chef de l’Etat n’apprécie guère les thèses voulant traiter ces troubles à l’ordre public commis dans l’enceinte de l’Ucad, « d’incidents mineurs sporadiques ».
Au contraire, il trouve que cela est l’expression politique d’une frange de jeunes de certains partis de l’opposition aux options irresponsables, que les faits incriminés aient été spontanés ou commandités. Par ailleurs, certains proches du Président Sall et non moins membre de l’Apr envisagent, parallèlement à l’action judiciaire intentée contre les présumés fautifs, d’apporter la riposte aux prétendues formations politiques instigatrices de jets de pierres et de projectiles sur le convoi du chef de l’Etat.
Ils comptent ainsi apporter la réponse nécessaire pour laver l’affront subi par leur mentor. Les responsables apéristes s’activent déjà autour des formes de manifestations à tenir pour non seulement fustiger l’attitude de leurs homologues de l’opposition, mais aussi exiger des poursuites à l’endroit des mis en cause.
Monsieur le Président, permettez-moi de rappeler,avec respect,qu'à Taïf "ils se mirent à jeter des pierres et à adresser des grossièretés" au Saint Prophète Mouhammad SAS. Il leur a pourtant accordé le pardon. Je vous invite donc à méditer ces paroles de Mezri Haddad,Philosophe et Ambassadeur de l'UNESCO:" En tant que musulman,je considère que cette phrase attribuée au Prophète''Tout est pardonné" lui rend le plus bel hommage". Pardonnez, Monsieur le Président,sinon, " Votre réaction et celle de votre entourage relèverait soit de l'ignorance,soit de la ferveur exhibitionniste,soit encore de la pathologie victimaire".
Monsieur Boye Pouloh, permettez-moi en toute objectivité et en toute probité intellectuelle de vous dire qu'il serait injuste de pardonner ces gens là qui ne méritent meme pas d'etre appeler ETUDIANTS. Ces laches qui, au lieu de se comporter en intellectuels réagissent comme des barbares, des irresponsables voire des animaux. Si le Président les pardonne je pense que c'est dire aux autres faites de la 1ere institution du Sénégal ce que bon vous semble.
Monsieur le Président,qu'elle que soit la gravité de leur acte,condamné par tout être humain pourvu de raison,ne qualifiez point,comme" Israël," le jet de pierres" par " un acte effectué par des terroristes en herbe" que l'on condamnerait à "10 ans de prison". En tant que musulman,je vous invite à un "Islam Spirituel et qui pardonne". Considérez que le jet de pierres que vous avez courageusement essuyé n'est qu''une "forme de protestation traditionnelle pour les étudiants dépourvus de maturité" que nous avons tous été.
Pardon de quoi??? Et pourquoi devrait-on pardonner ces brutes ??? Quand on frappe, il faut frapper vite, fort et bien. Que la Justice se prononce avec fermeté sur ces présumés "fauteurs". Dernier point: si ces "étudiants" – qui ne sont en fait que de violents écervelés – sont reconnus coupables, il faudrait aussi leur coller une amende au c*l!!! Marre de payer des impôts comme beaucoup de gens pour participer à la vie du pays, et que quelques abrutis passent leur temps à détruire les biens publics (bus, universités, lampadaires…).
Monsieur M'Bodj,Je comprends aisément que nous n'ayons certes pas les qualités du Saint Prophète Mouhammad qui, après le jet des pierres et les grossièretés qu'on lui a servis à Taïf,en a noblement pardonné les auteurs, mais faisons l'effort de prendre exemple sur lui. C'est la marque des grands hommes. C'est,à mon humble avis et en ma qualité de musulman,l'islam de la spiritualité et du pardon. la sanction que vous demandez d'infliger relève,toujours,en tant que musulman,de l'islam pénal. Je vous le concède. Je vous invite, toutefois,à en mesurer les conséquences incalculables et désastreuses à tout point de vue,eu égard à la tension sociale du moment.