Après la décision du Conseil d’Etat de suspendre l’arrêté « anti-burkini » de Villeneuve-Loubet, le premier ministre, Manuel Valls, qui a soutenu la décision des maires contre les vêtements religieux à la plage en refusant toutefois d’envisager de légiférer, s’est exprimé sur Facebook, vendredi 26 août au soir.
« Cette ordonnance du Conseil d’Etat n’épuise pas le débat », écrit-il, évoquant un débat « de fond », de l’ordre de celui sur le port de signes religieux en 2004 et sur le voile intégral en 2010. Il ajoute que « rester silencieux, comme par le passé, c’est un petit renoncement. Une démission de plus ».
« Dénoncer le burkini, ce n’est en aucun cas mettre en cause une liberté individuelle. Il n’y a pas de liberté qui enferme les femmes ! C’est dénoncer un islamisme mortifère, rétrograde. »
Il annonce également que le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve – avec qui il a « voulu relancer la construction d’un Islam de France, apaisé, indépendant des influences étrangères » –, fera des propositions lundi 29 août concernant ce sujet.
Avec le Monde
tal ndeyam falé !!! fils de gounor!!
s’en vrai fils de putte ce mec sal espagnol de merde rentre chez toi fils de salop
toi tu n’as que scotcher ta sale gueule l espce de mbame khoukhe
C’est vraiment un idiot ce Valls, et il insiste en plus.Je sais pas comment Hollande a pu choisir un premier ministre aussi minable…
Mais ce porc c quoi son bleme
kan on ne connait r1 de l’islam on se tait il incite la haine ce vieux ch1 tshimm