Entre le 1er octobre 2022 et le 13 août 2023, quatre sites ont été choisis pour accueillir les combats de lutte sans frappe. Au total, 67 millions ont été investis en 33 journées.
La première journée a eu lieu à Iba Mar Diop, organisée par Diak’s, qui avait engagé 2.500.000 FCFA. Cependant, suite à l’affaissement du mur, aucun autre gala n’a pu être organisé sur ce site. L’arène Adrien Senghor a accueilli 16 journées (16.000.000 FCFA), le terrain Gaal Gui 13 journées (27.500.000 FCFA) et l’Arène nationale 3 journées (21.000.000 FCFA).
Le promoteur Mamadou Diakhaté, plus connu sous le nom de Diak’s, a organisé des événements sur trois des quatre sites. Sur l’ensemble de la saison, il a organisé 8 journées, soit 24% du total. Il a également engagé 23 millions sur les 67 proposés par tous les promoteurs, soit 34% du budget total.
Il est à noter qu’une journée de 6 millions a été coorganisée avec Fallou Ndiaye et Ibrahima Diop, alors que le combat Ama vs Gris Bordeaux a dû être reporté suite à une blessure d’Ama.
Il y a trois lutteurs qui ont réussi à remporter deux galas de lutte consécutifs dans un même lieu. Ibou Ndiaye a remporté les 6e et 7e journées au terrain Gaal-Gui, Ngagne Sène s’est imposé lors des 12e et 13e journées à Gaal-Gui et Doudou Sané a dominé les 1ère et 2e journées à l’Arène nationale.
Lors de ces 33 journées, Mbayang Loum a prouvé une fois de plus qu’elle était la reine du micro, la préférée des promoteurs de lutte. Elle a été sollicitée 22 fois, soit pour 66% des galas. Au même moment, Ndèye Fatou a été sollicitée 11 fois (33%) et Faya Mbodj seulement une fois.
