L’escroquerie, la machination ou «le tapalé» sont bannis. Surtout en cette période de Ramadan. Au Sénégal, certains ne gagnent pas leur pain à la sueur de leur front. Les escrocs et les commerçants véreux mettent à contribution des stratégies pour se remplir illicitement les poches, renseigne Oustaz Alioune Sall.
Tous les moyens sont bons pour tromper la faim en cette période de Ramadan. Et le jeûneur a l’embarras du choix pour faire son « dakhou Koor » : plage, promenade, stade, jeux de société etc. Mais l’accomplissement de ces actes cadre-t-il avec les exigences du jeûne? Est-ce tout bonnement du « tapalé » pour être à l’abri des rigueurs […]
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