Aliou Sall : Le Coran, la démission et puis quoi …
Pour une première, le pouvoir semble en mauvaise posture. Personne ne prévoyait ce chancellement. Tout semblait dans le meilleur des mondes avec le plus docile des peuples : renouvellement de son mandat avec plus de 58%, dialogue national adoubé à l’applaudimètre. Tout était modjo jusqu’à ce que, tel dans un conte, intervienne l’élément perturbateur, sous […]