Prison de Kaolack : Comment Major Kandji a été arrêté et transféré par la Sûreté urbaine de Dakar…

Major Kandji a été arrêté hier, vendredi 30 mai, par la Sûreté urbaine de Dakar, puis conduit directement à la prison centrale de Kaolack, dans le cadre d’une affaire d’escroquerie foncière présumée portant sur 28 millions de francs CFA, rapporte Seneweb.

L’adjudant-major de gendarmerie à la retraite faisait l’objet d’un mandat d’arrêt émis depuis le 5 mai par le juge Issa Thiaw du tribunal de grande instance de Kaolack.

Le dossier, instruit par la Sûreté urbaine de Kaolack, a nécessité la collaboration des enquêteurs dakarois. Convoqué pour le lundi 2 juin, Kandji s’est présenté de manière anticipée ce vendredi dans les locaux du commissariat central de Dakar, où il a été immédiatement interpellé. Il a ensuite été transféré à Kaolack, où il a été directement conduit à la prison centrale locale, y passant sa première nuit en détention.

Cette affaire trouve son origine dans une escroquerie foncière présumée de 28 millions de francs CFA. Malgré un premier versement effectué après sa convocation par la police de Kaolack, le major Kandji n’a pas régularisé le reste du montant.

8 thoughts on “Prison de Kaolack : Comment Major Kandji a été arrêté et transféré par la Sûreté urbaine de Dakar…

  1. Babs

    Sonko kouko songou sannnkou… mak mou meuna fenn truand amo benn leer sa kanam dii sossal koula guenn di toumall goor doo diokk si torokh yaw ak ex commissaire dealer keita

  2. Amza

    Même s’il n’était pas parti à la retraite il devait savoir qu’il est justiciable. Ces genres de se ruer et se cacher derrière le statut politique, journaliste, chroniqueur voleur de diplôme ne veut pas dire faire ce que l’on veut et vaquer librement à ses occupations. Autant nos dirigeants politiques doivent arrêter de voler , autant les autres doivent êtres sérieux

  3. Mom

    Des gens allaient régulièrement sur les plateaux de télévision attaquer Ousmane Sonko pour que le PASTEF n’arrive jamais au pouvoir. Ils étaient conscients qu’ils avaient commis que pourraient couvrir l’ancien régime.

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