Le récent périple de Donald Trump dans le Golfe, marqué par des visites au Qatar et aux Émirats Arabes Unis, met en lumière ses priorités sur la scène internationale. Là où l’Europe est volontairement mise à l’écart, le continent africain semble de moindre importance pour l’ancien président américain. Une analyse détaillée du journal Sud Quotidien révèle cette dynamique dans les relations de Trump avec le monde.
Cette attitude contraste avec des propos virulents que Trump a tenus par le passé. Déjà, durant son premier mandat, il avait qualifié certains pays africains de « pays de m… ». Récemment, il a défrayé la chronique avec des affirmations selon lesquelles les Afrikaners d’Afrique du Sud subiraient discrimination et violence, ce qui tranche avec la réalité politique d’un pays dirigé par une coalition incluant l’ANC et un parti blanc.
Sud Quotidien nous rappelle que les déclarations infondées de Trump peuvent saper l’héritage de Nelson Mandela, qui avait œuvré à la réconciliation et au développement d’une « Nation arc-en-ciel » en Afrique du Sud. Étonnamment, aucune voix africaine ne s’est élevée pour défendre Pretoria, l’Union Africaine restant silencieuse face à ces attaques.
Mais pourquoi un tel intérêt tourné vers l’Afrique du Sud ? Le journal Sud Quotidien suggère que l’indignation de Trump pourrait être liée aux intérêts de son entourage et à ceux de personnalités influentes comme Elon Musk, sud-africain d’origine. En parallèle, Trump semble se désintéresser des véritables réfugiés du monde, leur préférant ceux qui répondent à un profil particulier, comme le démontrent ses politiques d’immigration sélective.
Au-delà de ces préoccupations, Sud Quotidien souligne comment Trump s’intéresse aux ressources rwandaises et congolaises, des zones riches en minéraux stratégiques. Ce qui motive Trump ce n’est pas tant le bien-être des populations africaines que les opportunités commerciales qu’offrent leurs sous-sols.
Enfin, l’article évoque l’impact des actions de Trump sur l’enseignement supérieur, notamment ses tentatives pour restreindre l’accès aux grandes universités américaines par des étudiants africains, témoignage d’une tendance à refouler l’influence africaine même dans les sphères du savoir.
En conclusion, selon Sud Quotidien, Donald Trump semble accorder à l’Afrique un intérêt secondaire, structuré davantage autour d’intérêts personnels et économiques que de considérations humanitaires ou diplomatiques.
Africains niokeu gueuneu seuss fouf . Il oublie que l Afrique du Sud est une grande puissance. S il fait son guignol on va le mettre en cage avec les gorilles du Congo et du rwanda