Crimes de sang et torture :  »La messe est dite », Dame Mbodj valide le choix du Conseil constitutionnel

Accroché jeudi, Dame Mbodj, Directeur général de la Société de gestion des infrastructures publiques (SOGIP) dans les pôles urbains de Diamniadio et du Lac Rose, a exprimé sa satisfaction à la suite de la décision rendue par le Conseil constitutionnel concernant la loi interprétative de l’amnistie.

Dans sa déclaration, M. Mbodj a tenu à saluer une clarification essentielle :

« Si le Conseil constitutionnel ne garantit pas l’impunité pour les crimes de sang et les actes de torture, alors je suis pleinement en phase avec sa position, et je ne peux que l’en féliciter. »

Selon lui, cette décision a permis de mieux délimiter le champ d’application de la loi :

« Ce qui nous importait avant tout, c’était que les assassins, les tortionnaires et les auteurs de crimes graves ne puissent bénéficier d’aucune forme de protection juridique à travers cette loi. La lecture faite par le Conseil constitutionnel répond parfaitement à cette exigence. »

En dernière analyse, Dame Mbodj estime que l’essentiel est désormais acquis :

« Le Conseil constitutionnel a clairement affirmé qu’il ne saurait garantir l’impunité à quiconque pour des crimes odieux ou des actes de cruauté. L’objectif recherché est ainsi atteint, et de la plus belle des manières. Pour nous, le message est clair, et la messe est dite. »

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