En marquant de sa présence la cérémonie de dédicace du livre « De la démocratie en Françafrique, une histoire de l’impérialisme électoral » de la journaliste française Fanny Pigeaud et de l’économiste Ndongo Samba Sylla, l’écrivain sénégalais affirme que la France a perdu définitivement son influence sur le Sénégal.
Boubacar Boris Diop, écrivain et intellectuel sénégalais, a exprimé ses réflexions sur les relations entre la France et l’Afrique, notamment en ce qui concerne la situation au Sénégal. Selon lui, la France, qui a longtemps exercé une influence considérable sur ses anciennes colonies, a perdu une grande partie de cette influence, en particulier au Sénégal. Il souligne que l’ambassadeur français, autrefois perçu comme une figure clé, est désormais considéré comme un diplomate ordinaire. Pour Diop, cette évolution reflète un changement dans la perception des relations franco-africaines, où l’ancienne puissance coloniale semble avoir de plus en plus de difficultés à maintenir son rôle traditionnel dans les affaires politiques du pays.
Il insiste également sur le fait que cette détérioration de l’influence de la France est liée à plusieurs facteurs, dont l’émergence de nouvelles dynamiques géopolitiques et économiques en Afrique, ainsi que l’aspiration de nombreux pays à affirmation de leur indépendance politique. Il déplore le fait que la relation entre la France et l’Afrique soit encore trop marquée par des structures néocoloniales, mais se félicite des progrès accomplis par certains pays africains pour se libérer de l’emprise historique de l’ancienne métropole.
Dans le cadre de ses propos, Boubacar Boris Diop aborde également des sujets plus sensibles et historiques, comme la commémoration de Thiaroye 44. Il évoque cette tragédie de manière poignante, soulignant la violence inouïe avec laquelle les tirailleurs sénégalais ont été traités par les autorités coloniales françaises. Les événements de Thiaroye en 1944, où des soldats sénégalais en grève pour réclamer leurs droits ont été tués par l’armée française, demeurent un symbole fort de l’injustice coloniale et continuent de nourrir les débats sur la mémoire collective et les relations entre les deux nations.
Pour M. Diop, la commémoration de ce douloureux épisode de l’histoire africaine doit être vue non seulement comme un devoir de mémoire, mais aussi comme un moyen de remettre en question les fondements de l’ancienne relation coloniale et d’ouvrir un espace de dialogue plus respectueux et plus égalitaire entre l’Afrique et la France.
Ce gars commence à nous tympaniser avec ce sujet. Il n’avait qu’à écrire ses livres dans une autre langue que le français. Il peut aussi arrêter de s’exprimer dans cette langue c’est mieux
la france n’a rien a foutre avec ce senegal foutu.Et si cette meme france se reveiller pour demender a tous les senegalais vivant sur son sol de rentrer?Bcp de nos compatriotes sont sans papiers labas et vous le savez tres bien.Donc,fermez vos sales gueules
Ce n’est pas la France qui a commis le massacre de Thiaroye : c’est la République philosophiquement laïque dite française.
Evidemment, il ne faut pas compter sur les actionnaires de la République philosophiquement laïque dite sénégalaise pour vous révéler cette information.
La République philosophiquement laïque dite française aura perdu son influence au Sénégal le jour où tous les Sénégalais
1) répudieront la République philosophiquement laïque dite sénégalaise ;
2) déclareront qu’ils sont suffisamment intelligents et instruits pour concevoir une forme d’organisation gouvernementale qui n’est pas la République laïcarde mais quelque chose de plus proche des valeurs de la civilisation sénégalaise
3) créeront une Assemblée constituante chargée d’écrire la première Constitution véritablement sénégalaise.
Tout le reste c’est du baratin.