Alioune Tine était, ce vendredi 8 novembre, au siège du Bureau régional du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme. Le fondateur d’Afrikajom Center qui a initié une table ronde dont l’objectif était de « plaider pour des élections législatives apaisées, transparentes et inclusives au Sénégal », estime que « la démocratie sénégalaise fascine, alors nous avons le devoir de la protéger« .
Rappelant ainsi « les transitions fluides vécues par le Sénégal« , d’abord en 2000, puis en 2012 entre Abdoulaye Wade et Macky Sall. Selon lui, « cette tradition démocratique doit se perpétuer en 2024, avec l’arrivée d’une nouvelle génération de dirigeants… Cette transition intervient à un moment où les démocraties du monde entier sont en révision, même aux États-Unis qui cherchent aujourd’hui à se réconcilier« .
Cette réflexion, selon Pressafrik, a également abordé la nécessité de voir les divergences politiques non comme des raisons de conflit, mais comme une richesse. Alioune Tine a rappelé les propos du président sénégalais : « Entre acteurs politiques, les adversaires ne sont pas des ennemis à abattre, ni à détruire politiquement ou moralement. Aucun Sénégalais ne doit porter atteinte à la vie ou à l’intégrité physique de son compatriote. »
A ce effet, il soutient que « la protection de la démocratie passe par une tolérance mutuelle entre adversaires politiques… Il est impératif que les élections rassemblent, sans violence ni discours de haine« .
Va te faire foutre Aline tu te crois important vieux renard
Aliou Tine basta