Dans un post sur X, le secrétaire général intérimaire du PASTEF, Ayib Daffé a exprimé son indignation face à ce qu’il qualifie de « prédation financière » orchestrée par des responsables politiques.
Selon Ayib Daffé, ces derniers auraient contracté un emprunt massif de 1800 milliards de francs CFA, en cachette, sans en informer ni le peuple ni l’Assemblée nationale, la principale institution de contrôle des finances publiques.
Ce détournement des processus démocratiques a suscité la colère de Ayib Daffé, qui s’est indigné de voir ces mêmes acteurs revenir aujourd’hui solliciter les voix des citoyens. Leur but ? Obtenir une immunité parlementaire qui, selon lui, servirait avant tout à échapper à la justice et à toute forme de reddition des comptes.
Ayib Daffé n’a pas mâché ses mots : « Ce n’est pas sérieux. Il faudra rendre des comptes. »
Ces prédateurs financiers qui ont emprunté 1800 milliards de francs cfa en cachette a l’insu du peuple et en contournant l’Assemblee nationale, reviennent sans gêne solliciter nos voix pour se payer une immunité parlementaire. Ce nest pas sérieux. Il faudra rendre des comptes.
— Ayib Daffé (@MohamedAyib) October 4, 2024
Pourtant ton père a fait partie des premiers prédateurs financiers de ce pays
Pourtant Sow,le père de ayib a dragué ta mère pendant plusieurs années. C’est ça que tu appelle prédateur sexuelle.
Bonne réponse mister malick
Arrêtez de censurer quand il s’agit de dire le contraire de vos protégés. Une presse sérieuse doit être à équidistance des chapelles politiques.
Le SEUL DANGER AU SENEGAL C’EST SONKO
Thieves yalla