Astou relate avec émotion la première fois qu’elle a vu sa mère biologique, précisant que c’était le jour de son enterrement.
Elle aborde le questionnement perpétuel, la souffrance psychologique, et le manque d’affection et d’estime de soi dont souffrent de nombreux enfants abandonnés ou confiés à des structures de prise en charge.
Ancienne pensionnaire de la pouponnière de Medina, elle a été adoptée à l’âge de 3 mois. Astou raconte les circonstances et les actions entreprises pour retrouver sa mère biologique.
Elle nourrit maintenant le rêve de monter une association pour venir en aide aux enfants abandonnés et d’écrire un livre sur son vécu.