La Coordination des Associations de Presse (CAP) tire la sonnette d’alarme face à une crise sévère qui frappe le secteur des médias au Sénégal. Une pression multiforme sur les entreprises de presse entraîne des fermetures et des pertes d’emplois pour de nombreux professionnels, notamment des journalistes, techniciens, et personnel d’appui.
Les journaux quotidiens « Stades » et « Sunu Lamb » ont déjà cessé de paraître, tandis que « Vox Pop » est également menacé. La CAP dénonce le manque de mesures des nouvelles autorités pour engager des consultations ou des concertations visant à trouver des solutions à cette crise.
Bien que les autorités actuelles aient hérité d’un secteur en difficulté, elles n’ont montré aucune volonté de normaliser la situation selon la CAP. L’organisation appelle à des mesures audacieuses pour adapter et corriger l’écosystème médiatique du pays, soulignant que la presse privée est essentielle à la démocratie.
La CAP alerte l’opinion publique nationale et internationale ainsi que les organisations internationales de défense de la liberté de la presse sur les dangers menaçant le journalisme au Sénégal en l’absence d’actions concrètes. Elle se dit prête à participer aux efforts de réforme, notant que ce week-end marquera la dernière revue des conclusions des assises des médias après plus de deux ans de travaux.
Des entreprise de presse version pyramide de PANZI. SOUL BOUKI SOULI BOUKI. C’EST LEURS AFFAIRES. TOUS DES APPRENTIS CRIMINELS À LA SOLDE DE MACKY SALL ET APR BENNO
Media , vous dites??? C’est tout sauf des medias a quelque exeptions pres