« Aucun journaliste ne doit porter le combat des patrons de presse. Parce que dans ces entreprises, les travailleurs, notamment les journalistes, sont lésés, » a taclé la journaliste de Walfadjiri qui évoquait les arriérés d’impôts importants de certaines entreprises.
Aissata Diop informe que les journalistes sont exposés à des conditions extraordinaires avec des salaires dérisoires non conformes à leurs diplômes et à la loi. Avec des patrons qui refusent d’appliquer leurs obligations légales en refusant de cotiser à l’Institution de Prévoyance Retraite du Sénégal (IPRES) et à l’Institution de Prévoyance Maladie (IPM). D’ailleurs, la plupart n’ont pas de couverture sociale.
« Un journaliste malade, s’il ne débourse pas son propre argent, ne pourra pas se soigner. Et c’est cela qui est à l’origine de la précarité de ce métier et de la corruption au sein du journalisme. Ils ne sont pas en sécurité dans les entreprises de presse.
Aujourd’hui, ils ne doivent pas impliquer les journalistes dans leur combat parce qu’ils ont été redressés du fait du non-versement des cotisations prélevées sur les salaires de leur personnel. »
Bien dit
Vraiment madame ces patrons de presse n’ont pas de reconnaissance envers leurs personnels , mais tout vas changer dans ce Pays
Et puis être journaliste est le métier le plus difficile
L algerien Rachid NEKKAZ a conseille a Ousmane SONKO
l existe une option salutaire et simple que l’opposition sénégalaise n’a pas encore explorée et que j’ai eu le privilège de mettre en place en Algérie en mars 2019. Elle présente plusieurs atouts dont le principal est de remettre en selle le leader Ousmane Sonko dans un rôle politique actif et non de le maintenir dans une posture de victimisation improductive et suicidaire pour lui, pour son parti et pour les millions de jeunes qui le soutiennent corps et âme.
Ousmane Sonko : Président en trois actes
Acte 1: Il s’agit pour Ousmane Sonko d’adouber rapidement un candidat sage et fin politiquement qui jouera sa doublure de confiance à la présidentielle de février 2024.
Acte 2 : Si ce candidat adoubé gagne la prochaine élection grâce à la mobilisation de toute l’opposition, de la jeunesse et de la diaspora, il accordera aussitot – le jour même de son intronisation – une amnistie générale aux prisonniers politiques et créera par décret le poste de vice-président qui sera confié à Ousmane Sonko.
Acte 3 : Immédiatement après, le président-doublure démissionnera et Ousmane Sonko deviendra constitutionnellement le nouveau Président du Sénégal.
VOUS AVEZ TOUJOURS CRIE PARTOUT POUR DIRE QUE MACKY SALL HARCELAIT BOUGANE GUEYE A TRAVERS LE FISC .
LES MAISONS DE LA PRESSE DOIVENT ALLER EN GREVE PARCEQUE LA PRESSION FISCALE EST ENORME ET TUE LES ENTREPRISES .
WALF KHANA DE NGUENA AM WEROU WAY ?
Ndeyssane khana tay nga khamni le fisc tue mes maison de presse, aka malen yeureum, vous manquez vraiment de crédibilité
C’est pas seulement les patrons presse madame. Toutes les entreprises gérer par un noir, ne respecte jamais les conditions et la loi du côte de travail.ces imbéciles là
J’imagine que tu n’es pas noir, tes parents non plus …
Vraiment madame ces patrons de presse n’ont pas de reconnaissance envers leurs personnels, mais tout vas changer dans ce Pays Et puis être journaliste est le métier le plus difficile
Ils sont des voyous et vouloir nous donner une leçon de vie journaliste de même les patrons ipers qui donnent des cadeaux sans payer les retraites
Vérité absolue. Il faut payer.