Le journaliste Mademba Aas Njaay, sur le réseau social X, a mis à contribution la Journée mondiale de la liberté de la presse pour revenir sur l’histoire de cet événement et pour exprimer sa reconnaissance envers les journalistes et éditeurs africains pour leurs contributions. C’est une belle reconnaissance de l’importance du journalisme dans la société et de l’engagement des professionnels des médias africains à travers les années.
« Aujourd’hui, nous célébrons la Journée mondiale de la liberté de la presse instituée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1993, suivant la recommandation adoptée lors de la 26e session de la Conférence générale de l’UNESCO en 1991. C’est une journée que le monde doit aux journalistes et éditeurs africains.
« En effet, comme l’ont reconnu les Nations unies, son instauration fut une réponse à l’appel de journalistes africains qui, le 3 mai 1991, ont proclamé la Déclaration de Windhoek sur le pluralisme et l’indépendance des médias. Babacar Touré a joué une rôle déterminant dans l’organisation de ce séminaire et la délégation sénégalaise en Namibie avait joué un rôle important dans l’élaboration de cette déclaration ».