La situation au Sénégal reste tendue suite à la décision du gouvernement de suspendre à nouveau l’internet mobile pour contrer les appels à la protestation. Cette mesure fait suite à une série de manifestations déclenchées par le report de l’élection présidentielle prévue initialement le 25 février. La décision a suscité une vague de mécontentement qui se manifeste par des marches et des grèves, particulièrement parmi les enseignants et les étudiants.
Des manifestations ont été rapportées dans plusieurs régions, notamment à Saint-Louis et à Louga où des enseignants ont été arrêtés, ainsi qu’à Dakar et Ziguinchor où des pertes en vies humaines ont été déplorées. La tension entre le président Macky Sall et les différents acteurs de l’opposition continue de monter, malgré la pression exercée par les acteurs nationaux et internationaux.
De nouveaux appels à manifester se heurtent à l’interdiction des autorités, qui arguent des risques de perturbation. Un enseignant cité par Afrik.com a exprimé le sentiment général de répression, affirmant que la restriction d’internet vise à empêcher une forte mobilisation. Dakar, la capitale, porte encore les traces des violences suite à la décision controversée de reporter l’élection présidentielle, illustrant ainsi l’ampleur de la situation.
On interdit la marche silencieuse et on suspend l’Internet.
Il n’y a plus de liberté au Sénégal. ?????????????????????????????????
Nous réclamons la démocratie dans notre pays pas un régime dictatorial
RENDEZ-VOUS LE 15 DECEMBRE 2024 INCHIALAH.
Le chef de l’état tu nous emmerde way on va aller au Maroc et te tuer
Bientôt 2024 attendez le dernier rdv