Thierno Alassane Sall, député à l’Assemblée nationale du Sénégal et candidat à l’élection présidentielle, ainsi que président du parti République des Valeurs/Réewum Ngor, a exprimé sa position concernant la nationalité des candidats à l’élection présidentielle du Sénégal. Selon lui, l’exigence d’une nationalité exclusivement sénégalaise pour ces candidats est fondée sur des principes essentiels pour garantir l’indépendance du président de la République vis-à-vis de toute influence étrangère. Il déclare : « L’exigence d’une nationalité exclusivement sénégalaise pour les candidats à l’élection présidentielle repose sur des principes fondamentaux visant, entre autres, à garantir l’indépendance du président de la République vis-à-vis de toute puissance étrangère. »
Sall souligne que la Constitution sénégalaise vise à éviter que le président soit sous l’autorité formelle d’un autre chef d’État en raison d’une double nationalité. Il explique : « À travers la Constitution, le Peuple a voulu, d’une part, que le président de la République du Sénégal, pays souverain et indépendant, ne soit sous l’autorité formelle d’aucun autre chef d’État en tant que citoyen d’un pays tiers. »
Il met également en avant les risques de conflits d’intérêts et de compromission des intérêts nationaux si un président possède une double nationalité. Sall ajoute : « D’autre part, que les dossiers ou autres moyens qu’un tel État étranger pourrait détenir contre le citoyen ne l’amènent à compromettre les intérêts du Sénégal. »
S’exprimant sur le cas de Karim Wade, qui, selon lui, posséderait la nationalité française, Sall pose des questions sur la légitimité d’un candidat enfreignant la Constitution pour devenir président. Il affirme : « Comment, en effet, peut-on accepter qu’un potentiel président de la République, dont le premier acte officiel serait de prêter serment de respecter et de faire respecter la Constitution, fonde son élection sur la violation de ladite Constitution ? »
M. Sall annonce son intention de déposer un recours au Conseil constitutionnel pour le respect des dispositions constitutionnelles. Il déclare : « Au nom de la Constitution et du peuple, fidèle aux valeurs que j’ai toujours défendues, je déposerai demain un recours au Conseil constitutionnel pour le respect des dispositions de notre charte fondamentale. »
Honte à vous
La loi c’est la loi ! TAS Dou waxtou. Karim est toujours inscrit sur les listes de votes à Paris. Ce n’est pas pour rien que Karim se hâte mais très lentement, pour revenir au Sénégal
Va te faire foutre
Amena nite yo khameni sokhor mo lene di raye
Ne fait pas l’enfant tu n’y gagne rien, le peuple n’y gagne rien,
C’est une démarche maladroite et malencontreuse. TAS ton combat devait être ailleurs. Programme de développement d’un Sénégal réconcilié avec lui-même. Mais la délation et le mépris culturel sont le terreau de l’intolérance et du crime. Vous êtes pitoyable et vous n’aurez pas gain de cause. Serigne Mboup lui est un vendeur d’illusions. Kaolack regrette de l’avoir mis à la tête de la commune
Si vous deposez cette plainte vous gagnez et mon vote et mon soutien.
On ne peut pas dire vouloir etre le president de la republique du senegal et laisser les gens pietiner la constitution
Tres bien le senegal aux vraix senegalais
Cest un homme de principe et valeur. Un véritable PATRIOTE .
THIERNO ALASSANE SALL.
La loi c’est la loi. TAS Dou waxtou. Karim est toujours inscrit sur les listes de votes à Paris. Ce n’est pas pour rien que Karim se hâte mais très lentement, pour revenir au Sénégal
Il faut pas oublier le cas d’Amadou Bâ. Il n’est pas sénégalais d’origine
Il ya des hommes decevants dans cette vie et cet homme en fait parti, contre le bonheur du Senegal.
Combien parmis vous ont la double nationalitee? Le respect des mots, et la mesure de leurs gravites pour l’histoire. Les immigres et leurs enfants qui financent le Senegal, doivent ils arretes car n’etant plus Senegalais??
Quelle méchanceté de parler ainsi sur Karim Wade qui est le fils du président Abdoulaye Wade. Je pense que vous n’êtes pas plus sénégalais que lui. C’est nul de vouloir aujourd’hui l’exclure de cette manière du Sénégal dont il est plus sénégalais que vous.
les grands hommes s’occupent des principes, les moyens des idées, les petits parlent des hommes comme ce monsieur