Ousmane Sonko est convoqué demain jeudi par le Doyen des juges, pour être auditionné au fond dans l’affaire Sweet Beauty qui l’oppose à Adji Sarr.
La presse est interpellée par la Coordination des associations de presse (Cap), pour une bonne couverture médiatique.
« La presse a couvert pas mal d’événements, même mortels. Par rapport à l’audition de Sonko, il faut faire un travail professionnel, conformément aux règles journalistiques. Il ne s’agira pas de réinventer la roue. Soyez factuels. Sur le terrain, on rapporte les faits, on ne mélange pas les genres.
On ne doit pas verser dans l’exagération ; le choix des mots est important. S’il y a une peur ambiante, le rôle du journalisme n’est pas d’en rajouter », a préconisé Mamadou Thior, du Conseil d’observation des règles d’éthique et de déontologie (Cored).
Selon lui, « la crédibilité de la presse est, aujourd’hui, en jeu. Parfois, on lit des reportages et on se demande si les journalistes ont couvert le même événement ».
Leral
Mais on a plus de journaliste dans ce pays mais des politiciens cagoulees
Ah . La dernière phrase est très intéressante . Les journalistes qui s’y retrouveront devront se parler eux même . C’est une honte que la corporation des journalistes elle même fasse ce genre de constat
Les les vautours sont à l’action reprenons notre pays
les vrais journalistes au senegal représentent moins de 10%de toute la corporation. la plus part sonr de nullards, des ignorants,des indisciplinés, des politiciens et des arrogants.
toutes mes excuses.
donc dites aux journalistes de gfm de la fermer. nous ne voulons pas d’eux. ils sont partisans
parfaitement d’accord comme WALF TV ET SEN TV trop partisanes
parfaitement d’accord comme WALF TV ET SEN TV trop partisanes