Cinq questions fastr-tack ont été posées à l’attaquant sénégalais, Babacar Gueye, ex pensionnaire de SC Paderborn, son prochain adversaire ce vendredi, avant son passage à Karlsruhe (KSC) en 2020, deuxième division, sud-ouest de l’Allemagne. Occasion pour l’ancien de Dakar Sacré Cœur, sur ksc.de, visité par Senego, de revenir sur l’état de sa forme.
Que pensez-vous de votre saison ?
La saison se déroule bien. Nous avons gagné beaucoup, c’est le plus important. Pour moi personnellement, c’est un peu difficile en ce moment. L’équipe s’est trouvée. J’aimerais jouer davantage, c’est certain. Mais parfois le football est comme ça. Parfois, les choses ne vont pas très bien, mais ensuite vous jouez une autre grande saison. Pour l’instant, c’est plutôt difficile. Mais bien sûr, je vais continuer à faire de mon mieux pour l’équipe et le club.
Vous avez passé un an et demi à Paderborn avant de rejoindre à Karlsruhe en janvier 2020. Avez-vous hâte d’y retourner ?
Ce n’est pas si facile pour moi de jouer contre mon ancienne équipe. Mais c’est aussi le football, ça en fait partie. Je suis un joueur de Karlsruhe maintenant et je suis concentré sur mon équipe.
Êtes-vous toujours en contact avec les joueurs de Paderborn ?
Certainement, pour certains d’entre eux. J’aimais tout le monde là-bas et ils m’aimaient aussi. Nous nous écrivons souvent sur les médias sociaux. Je me suis fait quelques amis pour la vie au SCP. C’est important pour moi de rester en contact avec eux.
Au cours de vos six derniers mois, vous n’avez pas eu l’occasion de beaucoup jouer au SCP, même si vous avez réalisé de bonnes performances en 2e division l’année précédente. Cela vous donne-t-il une motivation supplémentaire pour vendredi ?
« Je n’étais pas très heureux quand j’ai dit au revoir à Paderborn. Mais pour moi, maintenant, c’est juste important de tout donner pour le KSC. »
Vous vous promenez toujours sur le terrain du Wildpark avec un sourire radieux. D’où vient cette bonne humeur permanente ?
« Je suis comme ça. Je suis toujours souriant, où que je sois. Même si je ne suis pas de très bonne humeur. J’aime répandre de bonnes vibrations. »
(Source : ksc.de)
