Riposte covid-19: « La transparence dans la gestion est un atout pour le Sénégal », Lucile Imboua

« Le ministère de la Santé et de l’Action sociale n’agit pas seul pour la lutte contre la covid-19, nous l’aidons, nous apportons aussi notre appui », a confié la représentante de l’OMS au Sénégal, Dr Lucile Imboua lors une réunion de coordination avec les partenaires techniques et financiers en présence du ministre Abdoulaye Diouf Sarr.

Réunion…

Selon Dr Lucile Imboua, le bilan qui sera tiré de cette réunion, sera aussi le bilan de l’action de l’ensemble des partenaires. L’organisation mondiale de la santé est sur la bonne voix même si les défis persistent.

Partenaires…

 » C’est avec plaisir que les partenaires techniques et financiers participent à cette réunion de coordination. Les partenaires techniques et financiers ont accompagné et accompagnent l’Etat du Sénégal depuis le 20 janvier à se préparer et depuis le 02 mars a riposté », déclare Dr Lucile Imboua, représentante de l’OMS au Sénégal.

Leçons…

Pour Dr Lucile Imboua, il est important de tirer des leçons de cette première étape et faire le bilan de ce qui s’est passé et voir comment nous allons continuer notre appui. Pour elle, disposer des système de santé robustes et résilients permet de préparer la prochaine épidémie.

Crise sanitaire…

« Nous ne souhaitons pas une crise sanitaire de cette ampleur  mais il est important que l’on puisse voir en tant que partenaire  comment, est-ce que nous allons soutenir ce système de santé afin qu’il soit prêt à résister au choc », ajoute Dr Imboua.

Transparence…

D’après la représentante de l’OMS, le Sénégal est assez bien positionné dans certaines interventions mais des défis persistent dans d’autres  interventions. Et pour le suivi des contacts, le Sénégal a une bonne position et la transparence dans la gestion est un atout du pays et il faut le reconnaître.

Combat…

 » Une population qui n’est pas engagée ne peut pas permettre au virus d’arrêter sa propagation. Il faut que les communautés puissent s’engager véritablement et cet engagement doit se faire avec la communication de risque », poursuit Lucile Imboua.

 

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