« Quand les combines gouvernent un pays, l’espoir de développement se noie »

Le Sénégal, qu’on le dise en basse ou en intelligible voix, traverse depuis des années, des situations d’extrêmes confusions, nées des combines qui ralentissent exponentiellement notre marche vers le progrès qui est tant rêvé.

Entre religieux et Politiques, le mariage est tellement bien ficelé, qu’il est quasiment impossible de pouvoir y insérer une brindille de bois. Les deux partagent les mêmes méthodes et s’abreuvent dans le même marigot.

Les combines nous gouvernent. La réalité de faits n’est jamais mise en exergue et l’on nous présente souventes fois un tableau qui n’expose pas la réalité des faits dans le fond. Un groupe profite d’un autre. Cela, depuis de belles lurettes.

Nous acteurs politiques et religieux, avons aujourd’hui, pour le bien du Sénégal que nous partageons si affectueusement, la grande responsabilité de reconsidérer les choses.

Nous sommes plus que jamais alertés. Notre responsabilité transcende, à ce point, les générations d’aujourd’hui. Elle a ses tentacules fixées sur l’avenir alors que l’avenir se joue aujourd’hui.

Nous cherchons à l’écrire clairement et que celui qui nous lie veuille bien nous comprendre paisiblement. Si nous avons décidé de faire la politique, c’est pour contribuer à redessiner la carte. Redonner l’espoir à la jeunesse à partir de la vérité, de la justice et pour le développement.

On peut, à travers des discours, des prises de position et des alliances nous divertir. Mais notre démarche vers la liberté restera intacte. C’est avec elle, comme fondement, que nous pourrions bâtir et développer nos jeunes nations.

La relation entre Politique et religieux, toute combine mise en écart, devrait, c’est tout naturel, permettre une meilleure redistribution des richesses vers le peuple lambda qui ne demande que l’essentiel, le minimum, pour une vie modeste et saine.

En résumé, au nom de notre Parti pour la Justice et le Développement (PDJ), nous invitons les acteurs politiques, les chefs religieux, de faire du peuple, de notre cher Sénégal, la seule vraie raison de leur combat.

Que les taches soient judicieusement réparties pour le bien du peuple. Les combines n’ont jamais rien réussi en politique pour le bien du plus grand nombre. Le peuple attend encore !

Par Cheikh Ibrahima Diallo, S/G PJD

 

 

7 thoughts on “« Quand les combines gouvernent un pays, l’espoir de développement se noie »

  1. la balle est lancee dans le camps des politiques et religieux il temps de stoper cette magouye.( tel ou tel president a ete elu par telle ou telle confrerie navance pas le pays. Pensez aux jeunes qui meurent dans le desert ou dans la mediteranee parcequils veulent aider leur famille et certains politiciens et serignes se remplissent les poches. Dieu vous regarde. alors les insulteurs,vous pouvez misulter je men cogne.

  2. La.faute revient au peuple qui avait dupement vote .machy sall.maintenant après sept ans ce dernier est obligé de retourner chez son père
    Autrement de 2002 à 2012 le Sénégal était sur la très bonne voie et que personne ne peut me contrarier.

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